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SEO WordPress : utilisation efficace des catégories et des étiquettes (tags)
Les catégories et les étiquettes (tags, anciennement mots clés) sont les deux taxonomies principales que WordPress met à votre disposition pour organiser les contenus de votre site Internet ou blog. Elles présentent un réel intérêt pour améliorer le référencement naturel, pour peu de les utiliser efficacement.
Catégories et étiquettes : quelques rappels, en préambule
Avant d’entrer dans le détail, quelques rappels :
- Par défaut dans WordPress, les catégories et les tags ne peuvent être utilisés que sur des contenus de type « articles ». Mais il peut être utile de les implémenter ailleurs dans votre site, pour des contenus de type « projets », par exemple.
- WordPress impose que chaque article soit associé à une catégorie (« non classé », étant la catégorie par défaut). Les tags sont quant à eux facultatifs, mais nous verrons plus bas qu’ils sont utiles au référencement naturel.
- Les catégories peuvent être hiérarchisées (des sous-catégories peuvent être rattachés à une catégorie parente) tandis que la structure des tags est plate.
Pour faire un parallèle avec un livre, les catégories et les sous-catégories peuvent être comparées à une table des matières, avec ses chapitres et sous-chapitres, qui hiérarchisent un sujet en plusieurs sous-sujets, alors que les tags sont une sorte d’index utilisé pour lister les termes plus spécifiques, utilisés dans l’ouvrage.
Catégories et tags : des pages d’archives indexées par les moteurs de recherche
Lorsque vous créez une catégorie, WordPress génère automatiquement une page d’archives pour cette catégorie, qui contient l’historique de tous les articles affectés à cette catégorie. Il en va de même pour les sous-catégories et les tags.
Concrètement, si vous nommez une catégorie « référencement naturel », le CMS va créer une page accessible à l’URL suivante : https://votresite.com/category/referencement-naturel/
Tandis que si vous créez un tag « seo wordpress », WordPress génèrera une page d’archives dont l’URL sera la suivante : http://votresite.com/tag/seo-wordpress/
Les deux pages d’archives comprendront tous les contenus catégorisés sous « référencement naturel » et/ou étiquetés « SEO WordPress », dans notre exemple.
Par défaut, les pages d’archives sont indexées par les moteurs de recherche. Pour autant, leur potentiel pour optimiser le référencement naturel est souvent sous-exploité, notamment du fait du choix d’expressions inadaptées ou d’une hiérarchie des thématiques peu logique. Voire pas du tout exploité, quand aucune catégorie ou étiquette n’a été implémentée.
Quels mots clés choisir pour optimiser le référencement naturel ?
Aux expressions conceptuelles et/ou génériques, préférez des expressions descriptives, utiles pour la navigation de l’internaute au sein de votre blog, mais également optimisées pour le référencement naturel : une étude de mots clés est recommandée, en amont de la mise en place des catégories et des étiquettes, afin d’utiliser des expressions pertinentes et efficaces. Par exemple, il sera préférable de nommer une catégorie « offres emploi ESS », plutôt que « offres emploi », ou encore « norme économie circulaire » plutôt que « norme ».
Hiérarchie des catégories et tags, et autres bonnes pratiques
Il est préférable de créer la structure organisationnelle des contenus, ou, autrement dit, de réfléchir à une stratégie de nommage des catégories (par grande famille de thématiques qui seront abordées) et de tags, dès la mise en ligne du site. Cela évite d’avoir à modifier les catégories et les étiquettes par la suite, et donc de devoir procéder à des redirections de pages d’archives pour éviter les erreurs 404.
Parmi les autres bonnes pratiques, et sans que la liste soit exhaustive :
- Il est recommandé de ne pas multiplier les catégories. Ou tout au moins de créer des catégories qui seront régulièrement alimentées avec de nouveaux contenus. Commencer avec 4 à 10 catégories « majeures » nous semble optimal. Quitte à ensuite créer d’autres catégories ou sous-catégories.
- Pour les tags, leur nombre peut être beaucoup plus important. Mais là encore, ne les multipliez pas à l’infini.
- Ne nommez pas vos catégories et vos étiquettes avec les mêmes expressions : cela crée des doublons. Les noms des étiquettes doivent être plus spécifiques que ceux des catégories.
- Il convient de remplir la meta description des pages d’archives générées, afin que celle-ci s’affiche dans les moteurs de recherche.
- Pour chaque contenu publié, sélectionnez entre 1 et 3 catégories, et une dizaine maximum d’étiquettes. Les étiquettes affectées à chaque contenu doivent être cohérentes avec les idées développées.
Dans tous les cas, il est indispensable de capitaliser sur chaque expression utilisée, que ce soit pour les catégories ou les tags. En effet, si l’internaute clique sur une catégorie ou une expression (nuage de mots clés) qui ne renvoie qu’à un seul article, l’expérience utilisateur n’est pas optimale. Sans compter que pour le référencement naturel, c’est inefficient, puisque les moteurs de recherche remontent prioritairement les pages d’archives qui comportent plusieurs contenus.
Taux de conversion : site internet et e-mailing
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Taux de conversion : site internet et e-mailing
Le taux de conversion d’un site web
Le taux de conversion (appelé aussi taux de transformation) est le ratio entre le nombre de visiteurs ayant effectué une action sur un site web, définie préalablement comme un objectif de conversion, et le nombre total de visiteurs sur une période donnée.
Les objectifs de conversion peuvent être de différente nature : soumission d’un formulaire (demande d’informations complémentaires, demande de rendez-vous, demande de démo, inscription à un webinaire, inscription à une newsletter, téléchargement d’un guide pratique…), appel de l’entreprise, ajout d’un article au panier, vente réalisée, visite de telle ou telle page, article lu à plus de 90 % …
Le taux de conversion d’un e-mailing
Sur le même principe, le taux de conversion d’un e-mailing est calculé en fonction de l’action réalisée par les destinataires, et définie comme un objectif marketing à atteindre : inscription à un évènement, demande de devis, téléchargement d’un document, achat du produit promu, etc.
Pourquoi cet indicateur est important ?
Dans le domaine du webmarketing, la mesure taux de conversion permet de suivre l’efficacité des actions mises en place et d’en déduire les améliorations nécessaires : changement de design et/ou d’ergonomie, évolution de l’arborescence, déplacement des « call-to-action » (par exemple, bouton « demande de devis »), simplification du parcours des visiteurs, optimisation des articles existants, rajout de nouveaux « leads magnets » (livre blanc, guide pratique…), etc.
Référencement naturel (SEO) : 10 étapes clés pour réaliser votre étude de mots-clés
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Référencement naturel (SEO) : 10 étapes clés pour réaliser votre étude de mots-clés
Alors que les moteurs de recherche, et notamment Google, modifient en permanence leur algorithme, il a un point qui ne change pas pour optimiser le référencement naturel (SEO) de votre site internet : identifier les mots-clés pertinents pour améliorer le classement de votre site dans les résultats des moteurs de recherche (SERP, Search Engine Result Page). 10 conseils pour réaliser votre étude de mots-clés.
1/ Déterminez les grandes thématiques sur lesquelles il est important que votre entreprise remonte dans les moteurs de recherche
Ces thématiques sont évidemment en lien avec les produits et services que votre entreprise propose. Classez-les par grandes familles.
2/ Etablissez une première liste de mots-clés en lien avec les thématiques identifiées à l’étape 1
Si vous avez des difficultés à identifier des termes de recherche pertinents, vous pouvez vous appuyer sur les services qui sont en contact avec vos clients et prospects (avant-vente, vente, SAV, marketing produit, etc.) afin de leur demander quels termes ces derniers utilisent, quels sont leurs problématiques et besoins.
3/ Listez les mots-clés sur lesquels votre site est déjà indexé
Pour cette étape, la Google Search Console sera votre amie. Faites un tri entre ceux qui sont pertinents pour remonter du trafic qualifié et ceux qui ne le sont pas.
4/ Étoffez votre liste avec les termes de recherche utilisés par les internautes
Saisissez les mots-clés que vous avez identifiés au cours des étapes 2 et 3 dans la barre de recherche de Google, et notez les suggestions d’expressions proposées en saisie semi-automatique (prédictions de recherche) pertinentes pour votre entreprise. Saisissez chaque mot-clé dans Google et notez les « recherches associées » proposées par le moteur de recherche en bas de page. Allez jeter un œil aux suggestions de mots-clés de Ubersuggest. Utilisez l’outil de planification de mots-clés de Google Ads (il vous faudra ouvrir un compte si vous n’en avez pas un) pour enrichir votre liste de mots-clés. Les algorithmes d’intelligence artificielle de Google sont de plus en plus poussés, et les suggestions de plus en plus fines : vous obtiendrez des idées d’autres mots-clés.
5/ Identifiez les mots-clés sur lesquels sont positionnés vos concurrents
Vous pouvez déterminer les positions de vos concurrents en saisissant les mots-clés dans un navigateur (en mode navigation privée). Mais il n’est pas certain que vous ayez visibilité complète de vos concurrents potentiels en référencement naturel (qui ne sont pas forcément vos concurrents sur le terrain). Un outil comme SEMrush permet d’identifier vos concurrents communicationnels et de comparer les performances de plusieurs sites sur plusieurs expressions-clés. Une solution comme Insight Yooda facilite quant à elle l’identification des mots-clés sur lesquels sont positionnés vos concurrents.
Cette étape vous donnera une idée d’autres expressions potentiellement intéressantes pour votre site. Elle vous permettra également identifier les mots-clés sur lesquels vos concurrents ne sont pas positionnés, ce qui vous confèrera un avantage en référencement naturel, si vous les utilisez.
6/ Identifiez la volumétrie moyenne de recherche et la concurrence sur vos mots-clés
L’outil de planification de mots-clés de Google Ads permet d’avoir de la visibilité sur le nombre moyen de requêtes mensuelles pour chaque mot-clé identifié, ainsi que sur le degré de concurrence. Des solutions comme Ubersuggest, SEMrush ou Yooda simplifient cette étape.
7/ Étudiez les tendances avec Google Trends
Recoupez avec Google Trends pour ce qui concerne l’évolution du nombre de requêtes dans le temps. Cette étape vous aidera à déterminer quelles expressions ont une tendance à la hausse, et valent le coup d’être privilégiées. Ou l’inverse : quelles expressions sont en régression et ne méritent pas d’être retenues. Elle pourra également vous permettre d’identifier des expressions qui pourraient être intéressantes à terme, et sur lesquelles il serait intéressant d’investir dès maintenant pour récolter les fruits plus tard.
8/ Investissez dans les expressions de longue traine
Les mots-clés de longue traine (long tail, en anglais) sont des séquences de mots-clés contenant quatre mots ou plus. A la différence des mots-clés « génériques », qui comportent un à trois mots. Les mots-clés « génériques » ont un plus grand volume de recherche (et donc un plus grand potentiel pour augmenter le trafic vers votre site) mais sont bien souvent plus concurrentiels et ne génèrent pas forcément du trafic très qualifié (hors marchés de niche).
Par exemple, un internaute qui lance une recherche avec l’expression « relations presse » peut le faire pour une multitude de raisons qui n’ont pas forcément un rapport avec les services que propose une agence de relations presse. En revanche, il y a de fortes probabilités qu’une personne saisissant « agence de relations presse nouvelles technologies » soit à la recherche une agence spécialisée dans les nouvelles technologies. Les requêtes avec des expressions de longue traine, si elles sont moins nombreuses, apportent un trafic plus qualifié qu’une requête générique. Elles ne sont toutefois pas repérables avec l’outil de planification de mots-clés de Google Ads, SEMrush ou encore Yooda. Il faut les imaginer, les tester, ou à nouveau regarder les suggestions de recherche proposées par Google (cf. étape 4).
9/ Finalisez votre liste de mots-clés
Les étapes 4, 5, 6, 7 et 8 permettent de repérer les mots-clés pour lesquels il sera difficile d’obtenir de bons résultats, du fait d’une trop forte concurrence ou parce qu’ils sont trop génériques, les mots-clés pour lesquels de bons résultats sont atteignables (bon ratio nombre de requêtes / concurrence), les expressions long tail ainsi que les mots-clés « tactiques » pas ou peu utilisés par vos concurrents. L’étape 9 consiste à finaliser une liste d’expressions efficaces pour faire progresser le référencement naturel, à court et moyen terme.
10/ Réévaluez vos mots-clés régulièrement
Le référencement naturel est un travail de longue haleine. Il faut réévaluer vos mots-clés régulièrement, a minima tous les trois mois, en fonction des résultats obtenus. Au fur et à mesure que vos pages remonteront dans les résultats des moteurs de recherche, ou à l’inverse, ne remonteront pas correctement, il faudra analyser quels mots-clés fonctionnent, fonctionnent moins bien, ont progressé ou ont régressé, et comprendre pourquoi. Objectifs : maintenir les bonnes positions acquises, trouver des solutions de contournement pour les mots-clés qui sont à la peine et commencer à travailler d’autres mots-clés plus spécifiques, pour une optimisation en continu du référencement naturel.
Ecrire pour le web : la règle de la pyramide inversée
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Ecrire pour le web : la règle de la pyramide inversée
Héritée du journalisme, la règle de la pyramide inversée se réfère à une structure de contenus où l’information la plus importante (ou ce qui pourrait même être considéré comme la conclusion) est placée au début, pour capter l’attention, suivi par plus de détails sur le même sujet. Quelles sont les bonnes pratiques pour écrire en pyramide inversée ? En quoi cette technique est adaptée aux spécificités de la lecture web ?
Comment écrire en pyramide inversée
Incontournable pour rédiger un communiqué de presse, l’écriture en pyramide inversée est également indispensable pour accrocher les internautes et leur donner envie de poursuivre la lecture ou leur navigation sur votre site. Elle obéit à quelques bonnes pratiques, résumées en cinq points ci-dessous.
1/ Identifiez l’idée principale que vous souhaitez transmettre : le titre et l’introduction
Quelle information vos lecteurs doivent savoir et retenir, même s’ils ne lisent que le titre et l’introduction de votre page ? Qu’est-ce qui résume efficacement toutes les informations qui vont suivre ? Le titre et l’introduction (également appelée accroche ou chapô) constituent à eux-seuls la base de l’information. Le reste de l’article ne fait qu’apporter plus de détails.
Le titre doit être court. L’accroche doit se limiter à un paragraphe et être mise en gras pour la mettre en valeur.
2/ Listez et hiérarchisez les idées secondaires
Rédigez en donnant la priorité aux informations susceptibles d’intéresser le plus votre audience, puis continuez avec des éléments de détails ou plus nuancés. Faites des phrases concises, utilisez un vocabulaire adapté au public visé et évitez le jargon, voire les anglicismes.
3/ Mettez en valeur les idées secondaires : les intertitres
Pour faciliter la lecture et le balayage rapide de l’article, prévoyez des intertitres. Soignez la première phrase de chaque paragraphe afin qu’elle contienne l’information la plus importante du paragraphe.
4/ Soignez vos balises HTML et le nommage de vos images et illustrations
Utilisez les mots-clés pertinents et utiles pour le référencement naturel dans le titre, l’introduction et les intertitres. Balisez le titre en <h1> et les intertitres en <h2> pour faciliter leur indexation par les moteurs de recherche. Soignez les mots-clés de vos ancres de liens, c’est-à-dire les mots-clés cliquables pour atteindre une autre page. Nommer vos images avec des mots-clés correspondant à l’idée principale développée dans votre contenu.
5/ Envisagez d’ajouter un résumé (optionnel)
Eventuellement, ajoutez un encadré qui résume les points clés développés dans la page en un paragraphe court ou sous forme de liste à puces.
Les avantages de la pyramide inversée pour le web
La technique d’écriture de la pyramide inversée est particulièrement adaptée pour le web, quelle que soit la taille de l’écran, car elle apporte une réponse aux habitudes de lecture des internautes. Cinq raisons de l’adopter pour tous vos contenus web : home page, pages internes et articles.
1/ Aller droit au but, faciliter la compréhension générale
Les internautes qui arrivent sur la page peuvent se faire rapidement une idée d’ensemble de l’information développée et évaluer s’ils veulent poursuivre leur lecture, puisque l’information principale se situe au début.
2/ Capter l’attention des internautes
Les internautes passent très peu de temps sur les pages. Si le titre et l’introduction les accrochent, vous maximisez les chances qu’ils poursuivent leur lecture (ou navigation sur le site).
3/ Permettre une lecture rapide de votre contenu
La hiérarchisation et la structuration logique des idées ainsi que le découpage en plusieurs paragraphes facilitent la lecture « en diagonale » de votre contenu.
4/ Faciliter la mémorisation de l’information principale
Le titre et l’introduction comprennent l’information principale. Les visiteurs peuvent s’arrêter de lire n’importe où dans la page, ils auront mémorisé le message le plus important.
5/ Optimiser le référencement naturel (SEO)
Le titre, les premières phrases de votre contenu web et les intertitres comprennent les idées-clés, et par conséquent les mots-clés pertinents et utiles pour optimiser votre référencement naturel.
10 conseils pour réussir une interview presse
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10 conseils pour réussir une interview presse
Votre communiqué de presse a suscité l’intérêt d’un(e) journaliste et il(elle) souhaite s’entretenir avec vous pour en savoir plus ? Votre attaché(e) de presse a réussi à déclencher un interview avec un média ? Un(e) journaliste vous a repéré sur Twitter, ou en faisant des recherches sur Google, comme étant susceptible de répondre à ses questions pour un dossier qu’il(elle) prépare ? Les interviews presse sont une excellente occasion de partager votre expertise et de faire connaître votre entreprise, ses produits ou services. Mais pour qu’elles génèrent une retombée presse, quelques règles sont à respecter. 10 conseils pour réussir votre prochaine interview presse.
1/ Renseignez-vous sur le média et le journaliste qui va vous interviewer
Quels types de sujets couvre le média ? Quel est son format, sa périodicité, son angle rédactionnel, son style ? Quelle est la rubrique (actualités, dossier, point de vue, etc.) pour laquelle vous allez être interviewé ? Quels sujets traite habituellement le journaliste ? Est-il généraliste ou spécialiste ? Quel est son niveau de connaissance ou d’expertise par rapport à votre secteur d’activité ? Comprendre et connaitre le média, ainsi que le journaliste, va vous aider à préparer votre interview, à déterminer les messages à faire passer par rapport au public ou lectorat du média.
2/ Choisissez le bon interlocuteur dans votre entreprise
Les dirigeants d’une entreprise ne sont pas forcément les mieux placés pour répondre aux interviews, notamment quand il s’agit de sujets d’expertise. Choisissez l’interlocuteur en fonction de la thématique à aborder, qui saura répondre précisément aux questions. Et pas un simple porte-parole chargé de répéter des messages « prêts à l’emploi » qu’il n’incarne pas ou qu’il ne maitrise pas.
3/ Préparez quatre à cinq messages clés
Quels sont les quatre à cinq messages clés que vous voulez faire passer ? Que doit savoir le journaliste pour comprendre ce que fait votre entreprise ou les avantages de votre produit ou service ? Préparez une présentation en 2 minutes de votre entreprise : activité, chiffres clés, implantations, etc.
Ne vous attendez pas à ce que le journaliste soit un expert de votre secteur : même s’il est spécialisé, il le sera toujours un peu moins que vous. N’hésitez pas à faire des analogies, à donner des exemples, pour asseoir vos propos. Si vous pouvez l’aider à comprendre les faits, les données, les tendances, vous avez toutes les chances de devenir une ressource précieuse pour votre interlocuteur, qu’il n’hésitera pas à solliciter ultérieurement. Les relations presse s’inscrivent dans le temps.
Un journaliste peut ne pas poser les questions auxquelles vous souhaiteriez répondre. Dans ce cas, répondez aux questions posées et orientez vos réponses vers les sujets que vous souhaitez aborder.
En début d’entretien, demandez de combien de temps vous disposez, afin de caler vos réponses et vos messages clés dans le temps imparti.
4/ Anticipez les questions et entrainez-vous !
Pensez aux questions qui pourraient vous être posées sur votre marché, votre entreprise, vos produits ou vos services, et exercez-vous à répondre à ces questions. Vous n’avez pas besoin de mémoriser les réponses, mais en vous exerçant, vous serez plus à l’aise le jour J. Vous pouvez coucher vos messages clés sur papier, en quelques mots. Voire vous enregistrer, vous filmer. Répétez autant de fois qu’il est nécessaire. Plus vous préparez vos messages clés, plus il y a de « chance » qu’ils soient intégrés et repris par le journaliste.
5/ Préparez les 10 questions que vous ne voulez pas qu’on vous pose
Ces questions ne vous seront peut-être pas posées, mais vous serez prêt à y répondre, le cas échéant. Dans tous les cas, ne pas éluder les questions car le journaliste reviendra sans doute à la charge pour obtenir ses réponses. Soyez franc et dites les raisons pour lesquelles vous ne pouvez pas répondre : cette information est confidentielle ; votre fonction ne le permet pas ; en l’état actuel des connaissances, vous ne pouvez pas vous positionner, etc. Éventuellement, communiquer le nom d’une personne habilitée à transmettre l’information (ou le chiffre), même s’il est possible que le journaliste se heurte à nouveau à un refus.
6/ Démontrez que vous connaissez votre écosystème et vos concurrents
Même si vous pensez que vous n’avez pas de concurrents directs, le journaliste pourra faire un lien avec d’autres entreprises, dont les activités sont approchantes. Vous devez les connaître et être en mesure d’expliquer ce qui vous distingue d’elles. Ne dénigrez jamais vos concurrents, mais soyez prêt à démontrer et à expliquer en quoi et pourquoi vous êtes différent.
7/ Bloquez votre créneau et soyez à l’heure
Le journaliste donne de son temps pour vous parler. La moindre des politesses est d’être à l’heure et de prévoir le temps nécessaire pour répondre à ses questions. Il arrive que les journalistes soient en retard. Dans ce cas, patientez.
8/ Soyez à l’écoute et vigilant
Ne parlez pas trop vite, pour laisser au journaliste le temps de prendre ses notes. Soyez à l’écoute de votre interlocuteur pour identifier les éventuels points qu’il aurait mal compris. Dans le cas d’une interview croisée, écoutez les autres personnes consultées. Cela vous permettra de rebondir sur un message, pour le renforcer ou le compléter. Ou au contraire, de prendre le contre-pied de ce qui s’est dit, en argumentant votre point de vue. Dans tous les cas, aucune information n’est « off the record » : partez du principe que tout ce que vous avancez peut être relayé par le journaliste.
9/ Parlez clairement, soyez précis et évitez le jargon
Faites des phrases simples et veillez à ce que vos messages soient clairs et faciles à comprendre pour le journaliste. Évitez le jargon et, dans la mesure du possible, les anglicismes. Ne présumez pas que le journaliste connait tout du sujet ou de votre entreprise. Expliquez. Si le journaliste ne comprend pas ce que vous dites, il n’écrira pas sur vous.
10/ Ne demandez pas à relire l’article avant sa parution !
L’entretien semble s’être bien déroulé mais vous n’êtes pas serein sur la façon dont vos propos vont être restitués ? Sachez que la relecture d’un article n’est pas un droit, et est même contraire aux bonnes pratiques. Il est d’usage que les journalistes proposent de relire les citations, à savoir les propos qui vous seront attribués, mais ce n’est en aucun cas systématique.
Vous avez consacré beaucoup de votre précieux temps au journaliste, qui n’a finalement pas parlé de votre entreprise, ou très peu. Vous êtes déçu, et c’est bien naturel. Il est possible que vous n’ayez pas été suffisamment clair, pertinent et/ou précis. Si bien que le journaliste n’a pas obtenu les informations dont il avait besoin. L’angle du papier ne se prêtait peut-être finalement pas pour écrire davantage sur votre entreprise ou relayer plus votre point de vue. Dans tous les cas, inutile d’appeler le journaliste pour l’incendier. Il ne vous doit rien. Cultivez la relation… pour de prochains articles !
Référencement naturel WordPress : bonnes pratiques, une fois votre site web mis en ligne
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Référencement naturel WordPress : bonnes pratiques, une fois votre site web mis en ligne
Ci-dessous une check-list des principaux points de vigilance pour que votre site, développé sous WordPress, reste « propre » une fois mis en ligne, et soit optimisé en continu pour le référencement naturel.
Ci-dessous une check-list des principaux points de vigilance pour que votre site, développé sous WordPress, reste « propre » une fois mis en ligne, et soit optimisé en continu pour le référencement naturel.
- Mettre régulièrement de nouveaux contenus en ligne.
- Les pages ou articles doivent contenir un minimum de 300 mots.
- Utiliser les mots clés dans les titres et les intertitres (<title>,<h1> et <h2>) des pages et des articles. Surtout dans les <title> et les <h1>.
- Nombre de caractères recommandé pour le <title> et le <h1> : ne pas dépasser environ 70 caractères espaces compris.
- Toutes les pages doivent comporter un <h1>.
- Un seul <h1> par page.
- Eviter que les libellés du <title> et du <h1> soient identiques, pour optimiser vos pages et articles pour la longue traîne.
- Ne pas donner le même <h1> / <title> à 2 pages ou à 2 articles.
- Renseigner la méta description des pages et des articles : 160 caractères maximum. Les balises méta sont un résumé de votre page ou de votre article. Elles doivent contenir le ou les mots clés / concepts clés de la page ou de l’article.
- Optimiser le poids des images.
- Utiliser les mots clés pour nommer vos images et les PDF.
- Systématiquement renseigner la balise ALT des images.
- Utiliser les mots clés dans les balises ancre (liens internes ou externes).
- Les noms des « catégories » d’articles et des « tags » ne doivent pas être identiques.
- Ne pas créer de pages orphelines : toutes les pages doivent pouvoir être accessibles via un lien « logique » (menu, footer, lien interne…).
- En cas de réécriture d’une URL, mettre en place une redirection de l’ancienne URL vers la nouvelle.
- En cas de suppression d’une page ou d’un article, mettre en place une redirection vers la home page ou une page « approchante », pour éviter les erreurs 404.
- En cas de création d’une entrée de menu ou d’une page (vide) qui redirige directement vers une autre page (interne ou externe), mettre la page en no-follow / no-index.
Cette liste n’est pas exhaustive, mais elle évite les principales erreurs préjudiciables à un bon référencement naturel.
Cette liste n’est pas exhaustive, mais elle évite les principales erreurs préjudiciables à un bon référencement naturel.
Marketing de contenu : les cinq facteurs clés de réussite
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Marketing de contenu : les cinq facteurs clés de réussite
Attirer les internautes sur votre site Internet, convaincre vos prospects et/ou fidéliser vos clients, grâce à une présence en ligne renforcée (amélioration du référencement naturel, alimentation de votre site Internet et de vos comptes de réseaux sociaux…). Telles sont les promesses du marketing de contenu. Des promesses qui sont bien au rendez-vous, pour peu de respecter quelques bonnes pratiques.
1 – Définir une stratégie éditoriale
Face à l’explosion du nombre de contenus en ligne, dont la qualité et l’originalité sont tout à fait variables, comment faire pour se démarquer ? Le marketing de contenu n’est pas “magique” : il nécessite de définir, en amont, une stratégie éditoriale. Cette étape est bien souvent négligée alors qu’elle est cruciale pour garantir l’efficacité du dispositif sur le long terme.
Avant de vous lancer, il est indispensable de :
- Définir vos objectifs : notoriété, visibilité, fidélisation, génération de leads…
- Identifier vos cibles de communication ainsi que leurs besoins : à quoi s’intéressent-elles, et où vont-t-elles chercher les réponses à leurs questions ?
- Décider des formats et du ton à adopter, selon la cible
- Choisir les canaux et plateformes sur lesquelles les contenus seront diffusés. Inutile d’être trop ambitieux : à vouloir développer une présence partout, on finit par s’y perdre. Il faut aller chercher les cibles là où elles se trouvent !
- Choisir les thématiques et les sujets de prise de parole
- Etudier les expressions clés usuellement utilisées par les internautes et par vos concurrents autour de ces thématiques
- Définir un calendrier des contenus à produire sur les 3 à 6 prochains mois
2 – Internaliser ou externaliser la production de contenu ?
Evaluez d’abord ce que vous pouvez faire en interne, selon les appétences et le niveau de disponibilité de vos équipes. Certains de vos collaborateurs sont partants pour l’aventure ? Donnez-leur les moyens et le temps de produire les contenus en les déchargeant d’autres missions, par exemple.
La tactique la plus efficace consiste le plus souvent à sous-traiter une partie ou l’intégralité de cette production à un tiers. De nombreuses agences ou indépendants proposent désormais ce type de prestations. Gardez en tête que même si vous externalisez, il vous faudra consacrer du temps pour échanger avec ces tiers, leur transférer votre expertise et leur donner du grain à moudre… surtout si votre entreprise évolue dans un secteur nécessitant de fortes compétences métiers ou techniques.
3 – Privilégier la qualité à la quantité
Veillez à vous fixer des objectifs atteignables : si vous n’avez ni le temps ni le “fond” pour développer de nouveaux contenus une fois par semaine, ne vous ne vous engagez pas à le faire ! N’oubliez pas qu’il est plus important de délivrer un contenu qui intéresse vos cibles que de produire dans le seul but d’atteindre vos objectifs quantitatifs. Au final, ce sont les contenus à forte valeur ajoutée (ou réellement originaux) qui font la différence : ils restent en pole position des résultats sur les moteurs de recherche, et sont donc ainsi visibles, lus et partagés, sur le long terme. Ne cédez donc pas, non plus, au chant des sirènes des “vendeurs de contenus” à trop bon marché : produire du contenu de qualité prend du temps et nécessite une réelle expertise.
Vous aurez peut-être à revoir vos ambitions à la baisse ou, au contraire, à la hausse. Si vous ne tenez pas vos objectifs, faites un choix : sous-traitez, ralentissez le rythme ou sacrifiez certains contenus.
4 – Peaufiner la forme, diffuser sur les bons canaux
Une fois le contenu créé, il faut le rendre le plus attractif et le plus visible possible par vos cibles. Faute d’équipes dédiées en interne, il est préférable d’externaliser plutôt que de perdre un temps précieux à tenter de le mettre en valeur et le diffuser par vous-même. Une option que privilégient pourtant de nombreuses petites entreprises pour limiter les coûts, mais qui se révèle la plupart du temps peu efficace.
En effet, le savoir-faire et les compétences nécessaires pour mettre en page un contenu, le diffuser sur les bons canaux (e-mailing, réseaux sociaux…), améliorer son référencement naturel sur les moteurs de recherche (SEO), le promouvoir efficacement auprès des journalistes et influenceurs clés, etc., ne s’acquièrent pas en 5 minutes !
5 – Mesurer et se concentrer sur ce qui marche
Vous n’aurez pas de visibilité avant plusieurs semaines sur ce qui fonctionne, et pourquoi cela fonctionne. Ou l’inverse. Soyez attentif à l’évolution du trafic sur votre site Internet ou blog, aux résultats sur les moteurs de recherche, aux pages les plus consultées, à la résonance de vos contenus dans les médias classiques et sociaux.
Utilisez des outils de veille, Google Analytics ou demandez simplement à vos prospects comment ils vous ont trouvé. Au fur et à mesure, éliminez les tactiques, les canaux ou plateformes qui ne donnent pas de bons résultats. Vous avez des retours intéressants sur LinkedIn mais moins de résonance que prévu sur Twitter ? Tranchez. Vous économiserez ainsi du temps et de l’argent que vous pourrez investir ailleurs.
Référencement naturel (Search Engine Optimization ou SEO, en anglais)
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Référencement naturel (Search Engine Optimization ou SEO, en anglais)
Quand un internaute saisit une expression sur un moteur de recherche (le plus souvent Google), une liste de résultats de sites apparait, classés par ordre de pertinence, selon un algorithme complexe (et tenu secret) et qui évolue en permanence. La majorité des internautes consultent les liens proposés sur la première page de résultat. D’où l’intérêt d’être situé le mieux possible dans les pages de résultats.
L’optimisation du référencement naturel, qui est aussi appelé SEO (pour Search Engine Optimization), désigne un ensemble de techniques destinées à améliorer le positionnement de votre site Internet (ou blog) dans les résultats des moteurs de recherche. Pour, au final, augmenter le trafic qualifié sur votre site ou blog.
Le SEO doit être pris en compte dès la conception d’un site Internet, grâce à une conception, une structure et à des contenus (mots clés) pensés pour être en phase avec les expressions utilisées par vos cibles. Pour un site existant, il consiste à identifier les facteurs bloquant une meilleure indexation, qui peuvent techniques, structurels, rédactionnels… En complément de ce travail d’optimisation du site, un travail externe doit être mené pour améliorer la « réputation » (autrement dit la « crédibilité ») de votre site. Et notamment la mise en place de liens entrants (backlinks) depuis des sites ou portails – qui ont une bonne réputation – vers votre site Internet.
Référencement payant (Search Engine Advertising ou SEA, anglais)
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Référencement payant (Search Engine Advertising ou SEA, anglais)
Le référencement payant (SEA) sur Google, ou encore campagne de liens sponsorisés (Google Adwords), est assez proche dans son fonctionnement du référencement naturel (SEO). Selon les mots saisis par l’internaute dans le moteur de recherche, une liste de résultats apparait : certains sont liés au référencement payant (ils sont matérialisés par la mention « annonce »), les autres sont liés au référencement payant.
Google Adwords permet de créer une ou plusieurs campagnes de publicité, avec des termes de recherche (mots clés) et un budget spécifique à chacun. Il est possible de limiter la publication des annonces à certaines zones géographiques, ou encore de définir si les annonces doivent être affichées sur des sites « partenaires » (autres moteurs de recherche, réseau Display) ou sur Gmail, la messagerie de Google.
Pour chaque « mot clé » (dans notre exemple « vin rosé bio cotes de bourg »), on définit un budget maximal d’enchère. La position de l’annonce dépend du montant que vous souhaitez engager, au regard de ce que vos concurrents sur le mot clé engagent.
Le SEO et le SEA constituent deux stratégies de référencement différentes, mais complémentaires. Les deux ont le même objectif : améliorer la visibilité / la position d’un site sur les moteurs de recherche, pour générer du trafic qualifié sur le site. Le SEO se travaille sur le moyen et long terme, tandis que les résultats du SEA sont immédiats (dès que les campagnes sont activées).
Content Management System (CMS) ou système de gestion de contenu
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- Author: Elodie
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Content Management System (CMS) ou système de gestion de contenu
Un CMS facilite la gestion et la mise à jour d’un site internet ou blog. A partir d’une console d’administration, il permet de rajouter / modifier / supprimer simplement, sans connaissance approfondie du langage HTML, des entrées de menus, la page d’accueil d’un site, les pages, articles, photos, vidéos, illustrations…
Il existe deux grandes familles de CMS :
- — Les CMS open source : le CMS est gratuit et est enrichi de nouvelles options par l’ensemble de la communauté.
- — Les CMS « propriétaires » : le CMS est développé par un éditeur. Il bénéficie d’un support effectué par ses équipes.
Dans la première catégorie, qui est plébiscitée un peu partout dans le monde, le trio de tête est occupé par WordPress, Drupal et Joomla. Mais il existe des dizaines d’autres solutions comme, par exemple, des plateformes dédiées au e-commerce telles que Magento ou Prestashop. Dans la première catégorie, on peut citer l’exemple de Wix, qui permet de créer très facilement un site Internet.
A l’heure du choix, Il n’y a pas de bonne ou mauvaise solution : chaque solution a ses avantages et inconvénients. Il est préférable de se faire accompagner en amont d’une refonte de site pour lister les fonctionnalités attendues sur le site, vos besoins en termes d’aide et d’assistance, vos exigences en matière d’hébergement, de référencement naturel ou d’évolution de la plateforme…
Ce n’est qu’après avoir étudié ces différents critères, pondérés avec votre budget, qu’il est possible de déterminer quel CMS sera plus adapté pour votre nouveau site Internet.