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Refonte de site Internet et référencement naturel (SEO) : les bonnes pratiques
Aujourd’hui, tout professionnel du web (agence ou freelance) devrait intégrer le référencement naturel (Search Engine Optimization, SEO) bien avant la mise en ligne d’un site internet, dès la phase de rédaction du cahier des charges. Pourtant, force est de constater qu’encore trop de sites récemment conçus cumulent des erreurs qui les condamnent à être mal positionnés, voire pénalisés, par les moteurs de recherche…
SEO : le CMS ne fait pas tout !
Désormais, il peut paraitre relativement simple et peu onéreux de développer un site web. La majorité des sites s’appuient sur un CMS (WordPress, Joomla, Drupal…) couplé à un thème graphique qui peut être personnalisé. Mais, avec la nécessité pour les sites d’être responsive (affichage adapté selon que le site est accédé via un ordinateur, une tablette ou un smartphone), le code des thèmes a eu tendance à s’alourdir ces dernières années, pénalisant le temps de chargement des pages, critère important pour le SEO. A tel point que certaines agences évitent dorénavant de recourir à des « templates » et (re)proposent des thèmes sur mesure et optimisés. En outre, il n’est pas rare de constater que des charlatans du web (si, si, il en existe !) aient cassé le code originel et la feuille de style (CSS) de thèmes pourtant bien notés pour le SEO, si bien que certaines balises html clés sont inexistantes dans le code source des pages. Avec, comme corollaire, l’impossibilité d’améliorer le référencement naturel puisque les informations clés pour être bien indexé par les moteurs de recherche sont tout simplement absentes !
En résumé, même en choisissant un CMS réputé pour être « SEO friendly », de grossières erreurs sont encore commises, qui condamnent certains sites à être mal référencés, sauf à réaliser d’importantes modifications, voire à redévelopper totalement le site.
L’étude de mots clés : un préalable indispensable
Avant de se lancer dans une refonte de site, une étude de mots clés s’impose. Quelles sont les expressions saisies par les internautes pour rechercher le type de produits ou de services que propose votre entreprise ? Sur quels mots clés se positionnent vos concurrents ? Quels mots clés sont susceptibles de générer du trafic qualifié et de la conversion directe ou indirecte ? La concurrence est-elle rude dans votre domaine ? Etc. Cette étude de mots clés permet de recenser l’ensemble des expressions à utiliser à des endroits clés du site : titre du site, titres des pages, intertitres, nom des images, etc. Cette étape aide également à affiner l’arborescence des différentes pages de votre site et à bien choisir les expressions qui seront à utiliser pour classer les articles (choix des catégories et des tags). Des aspects qui sont souvent négligés également. Pourtant, plus les informations sont structurées de manière logique et claire, meilleurs sont l’expérience utilisateur et le référencement.
Rédiger vos contenus pour être lu
Pour susciter l’intérêt des internautes, on n’insistera jamais assez sur la qualité des contenus. A l’heure où ils passent de moins en moins de temps sur les pages, vous n’avez que quelques secondes pour retenir leur attention. Il est impératif d’aller à l’essentiel, d’être concis. Cependant, la concision n’est pas forcément synonyme de court ou de contenus « pauvres ».
Parmi les deux fondamentaux de l’écriture web, on retrouve deux règles propres au journalisme : la méthode des 5W et la structuration des contenus en pyramide inversée.
- Les 5W (What, Why, Who, When, Where) peuvent être résumés de la façon suivante : à quelles cibles s’adresse votre message ? Quelles sont leurs problématiques, attentes, besoins ? Dans quel contexte ? Quels sont les réponses apportées par votre entreprise ? Pourquoi ? Comment ?
- La règle de la pyramide inversée consiste à structurer le contenu comme un article de presse : titre (accroche), chapeau (résumé percutant pour inciter à lire la suite), développement avec quelques intertitres et visuels pour améliorer la lisibilité.
Ces deux bonnes pratiques permettent de hiérarchiser les informations et de structurer le contenu pour garder l’internaute le plus longtemps possible sur votre site : visite d’autres pages, téléchargement de documents, prise de contact, etc.
Il est à noter que chaque page d’un site internet doit contenir un contenu unique. Si la même séquence de textes se retrouve sur plusieurs pages différentes (duplicate content), les moteurs de recherche sanctionnent les pages concernées, voire le site dans son ensemble.
Mettre en ligne des contenus « SEO friendly »
Lors de la rédaction, il est primordial de soigner les titres de pages ainsi que les intertitres. En effet, ils correspondent aux balises html les plus importantes pour les moteurs de recherche et doivent impérativement inclure des mots clés. Par exemple, au lieu de mettre un titre de niveau 1 « nos services », beaucoup trop générique, il faudra privilégier une expression beaucoup plus précise, telle que « nos services d’éco-conception de mobilier ». Il faut néanmoins garder à l’esprit qu’on écrit avant tout pour les internautes. Séduire Google ou Bing vient dans un second temps.
Lors de la mise en ligne des contenus, toute une série d’optimisations doit être réalisée : l’optimisation des titres (h1) et intertitres (h2, h3) déjà évoquée, la réécriture des URL, le choix des expressions sur lesquelles placer des liens hypertextes, le poids, le nom et la balise ALT des images, l’optimisation du maillage interne, etc. En parallèle, il est indispensable de soigner les méta descriptions de chaque page (le texte qui apparait sous le titre dans les moteurs de recherche). En effet, c’est bien souvent ce texte qui incite l’internaute à visiter une page plutôt qu’une autre, quand il effectue une recherche. Sans oublier non plus, une fois la mise en ligne effectuée, de mettre en place des redirections 301 des anciennes URL vers les nouvelles, pour éviter les erreurs 404 préjudiciables au référencement.
Cette liste de conseils pour optimiser le référencement naturel dès la conception d’un site web n’est évidemment pas exhaustive, tant le nombre de points de vigilance est important. Toutefois, la vocation de cet article est de sensibiliser les entreprises au fait que le SEO nécessite un savoir-faire qui va bien au-delà de la réalisation d’un beau design ou de la maitrise de telle ou telle plateforme CMS de développement de site web.
8 points clés pour construire une stratégie de marketing de contenu efficace
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8 points clés pour construire une stratégie de marketing de contenu efficace
Une stratégie de marketing de contenu en vue d’améliorer le référencement naturel (SEO) ne peut pas être uniquement être pilotée par les mots clés utilisés par les internautes. Elle doit avant tout être pensée pour intéresser (ou séduire) vos publics cibles. La raison d’être de la production de contenus est de transmettre une information utile, d’être lu, compris, écouté et… préféré.
Internet regorge d’articles qui se ressemblent et qui abordent les mêmes sujets, avec les mêmes angles et recettes éditoriales. Une stratégie de marketing de contenu pilotée uniquement par les mots clés peut finir par augmenter le trafic organique sur votre site internet. Mais si vous n’avez rien à dire d’unique, que votre contenu n’est pas de qualité, votre marketing de contenu ne sera pas efficace, quand il ne sera pas déceptif.
Alors que faire pour sortir de la mêlée, à la fois au niveau éditorial et sur le plan du référencement naturel ? Il faut avant tout se poser les questions suivantes :
- Quels sont mes publics cibles ?
- Quels sont leurs attentes, leurs besoins et leurs problématiques ?
- A quoi s’intéresse votre cible ? Où va-t-elle chercher les réponses à ses questions ?
- Quels types de contenus apprécient vos publics cibles ? Sur quels canaux ?
- Qu’est-ce qui vous différencie par rapport à vos concurrents ?
- Quelle est votre singularité et votre proposition de valeur ?
- Comment mettre votre expertise au service de vos publics cibles ?
La clé pour intéresser durablement vos publics cibles est de développer des contenus uniques et différenciants, à l’intersection entre l’expertise de votre entreprise et leurs problématiques. 8 points clés pour construire une stratégie de marketing de contenu efficace.
1. Fixez-vous des objectifs
Repartez des bases. Quels sont vos objectifs ? Notoriété, visibilité, fidélisation, abonnement à une newsletter, génération de leads… ? Cela vous aidera à déterminer le type de contenu à créer et à définir les « call to action » à mettre en place.
2. Identifiez vos publics cibles et leurs problématiques
L’étape suivante consiste à identifier vos publics cibles et leurs problématiques. Au sein de votre organisation, de nombreuses personnes peuvent vous aider, et notamment celles qui interagissent avec vos clients : service clients, avant-ventes et commerciaux, support technique, chefs de produit marketing, community manager, etc. Vous pouvez également consulter les forums et les groupes sur les réseaux sociaux, pour identifier les problématiques de vos cibles.
3. Déterminez votre singularité et votre ligne éditoriale
Il s’agit de comprendre et de déterminer ce qui fait la singularité de votre entreprise, par une observation des territoires de vos concurrents et une écoute de vos cibles. Dans de rares cas, c’est le produit ou le service en lui-même. La majorité du temps, ce sont plutôt d’autres facteurs : vos convictions, votre vision, vos experts, vos méthodologies de travail, vos processus de fabrication, etc. Vos produits ou services ne sont pas « sexys » ? Ce n’est pas un problème. Ce qui est important, c’est de comprendre ce que votre entreprise peut offrir d’unique afin de proposer des contenus plus utiles et plus intéressants que ceux de vos concurrents.
A ce stade, il est aussi important de déterminer quel ton vous souhaitez adopter. Là aussi, cela dépend à la fois de vos cibles et de votre « ADN » : légèrement provocateur, expert, visionnaire, neutre, un brin humoristique, décalé ? Il est important de se sentir à l’aise avec ce ton.
4. Listez les sujets potentiels
Une fois les cibles et leurs problématiques identifiées, la ligne éditoriale et le ton définis, vous allez pouvoir réfléchir aux sujets que vous pourriez développer. Ne vous limitez pas : couchez sur le papier toutes les idées de sujets susceptibles d’intéresser vos cibles. A cette étape-là encore, n’hésitez pas à impliquer d’autres services : avant-ventes et ventes, service client, support technique, marketing produit, etc.
5. Faites une étude de mots clés en relation avec les sujets potentiels
Maintenant que votre liste de (bons) sujets de contenu est établie, plongez-vous dans l’étude des mots-clés en relation avec des thèmes à aborder. Des tas d’outils existent pour connaitre le nombre moyen de requêtes par mois et le degré de concurrence sur les expressions. Il est également intéressant de saisir les mots-clés et thématiques dans Google et de s’intéresser aux suggestions de requêtes approchantes fournies par le moteur de recherche, dont les algorithmes sont de plus en plus pointus, y compris pour les expressions longues.
6. Définissez un calendrier éditorial
En fonction des résultats de vos recherches sur les mots-clés (nombre moyen de requêtes par mois, concurrence), définissez vos priorités et votre calendrier éditorial sur plusieurs semaines. A ce stade, pensez à mettre en place un planning et à avertir les personnes qui vont rédiger les contenus, ou qui vont vous aider à les développer.
7. Créez des contenus durables, qui ne transigent pas sur l’exigence de qualité
De nombreuses entreprises privilégient la quantité à la qualité. Et c’est une erreur. Inscrivez-vous dans une démarche de « responsabilité sociétale et informative ». Rassemblez toutes les informations et données nécessaires à la rédaction de vos contenus : veille, interview d’experts internes ou externes, de vos clients, etc. Ne transigez pas sur l’exigence de qualité et de fiabilité de l’information que vous allez délivrez, pour ne pas décevoir les lecteurs.
Rédigez vos contenus en utilisant les mots-clés aux endroits clés : titres et intertitres de vos contenus, entre autres. Privilégiez, dès que vous le pouvez, les expressions de long traine (expressions longues, plus précises), qui sont moins concurrentielles et qui capteront un public plus qualifié.
8 – Pilotez et mesurez les avancées
Une fois que vous avez créé votre contenu, que vous l’avez publié et diffusé sur les bons canaux, les résultats ne seront pas immédiats, le référencement naturel étant un travail sur le long terme. Créez des tableaux de bord pour suivre les performances de vos contenus en fonction de vos objectifs : position de vos contenus dans les moteurs de recherche, nombre de lectures, autres pages visitées, nombre de partages sur les réseaux sociaux, nombre de formulaires remplis, etc.
Si vous trouvez que les résultats ne sont pas au rendez-vous après plusieurs mois, revenez en arrière : analysez les contenus qui fonctionnent bien, ceux qui ne prennent pas. Et redéfinissez vos sujets, votre rythme de publication, votre calendrier éditorial et vos mots-clés.
SEO WordPress : utilisation efficace des catégories et des étiquettes (tags)
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SEO WordPress : utilisation efficace des catégories et des étiquettes (tags)
Les catégories et les étiquettes (tags, anciennement mots clés) sont les deux taxonomies principales que WordPress met à votre disposition pour organiser les contenus de votre site Internet ou blog. Elles présentent un réel intérêt pour améliorer le référencement naturel, pour peu de les utiliser efficacement.
Catégories et étiquettes : quelques rappels, en préambule
Avant d’entrer dans le détail, quelques rappels :
- Par défaut dans WordPress, les catégories et les tags ne peuvent être utilisés que sur des contenus de type « articles ». Mais il peut être utile de les implémenter ailleurs dans votre site, pour des contenus de type « projets », par exemple.
- WordPress impose que chaque article soit associé à une catégorie (« non classé », étant la catégorie par défaut). Les tags sont quant à eux facultatifs, mais nous verrons plus bas qu’ils sont utiles au référencement naturel.
- Les catégories peuvent être hiérarchisées (des sous-catégories peuvent être rattachés à une catégorie parente) tandis que la structure des tags est plate.
Pour faire un parallèle avec un livre, les catégories et les sous-catégories peuvent être comparées à une table des matières, avec ses chapitres et sous-chapitres, qui hiérarchisent un sujet en plusieurs sous-sujets, alors que les tags sont une sorte d’index utilisé pour lister les termes plus spécifiques, utilisés dans l’ouvrage.
Catégories et tags : des pages d’archives indexées par les moteurs de recherche
Lorsque vous créez une catégorie, WordPress génère automatiquement une page d’archives pour cette catégorie, qui contient l’historique de tous les articles affectés à cette catégorie. Il en va de même pour les sous-catégories et les tags.
Concrètement, si vous nommez une catégorie « référencement naturel », le CMS va créer une page accessible à l’URL suivante : https://votresite.com/category/referencement-naturel/
Tandis que si vous créez un tag « seo wordpress », WordPress génèrera une page d’archives dont l’URL sera la suivante : http://votresite.com/tag/seo-wordpress/
Les deux pages d’archives comprendront tous les contenus catégorisés sous « référencement naturel » et/ou étiquetés « SEO WordPress », dans notre exemple.
Par défaut, les pages d’archives sont indexées par les moteurs de recherche. Pour autant, leur potentiel pour optimiser le référencement naturel est souvent sous-exploité, notamment du fait du choix d’expressions inadaptées ou d’une hiérarchie des thématiques peu logique. Voire pas du tout exploité, quand aucune catégorie ou étiquette n’a été implémentée.
Quels mots clés choisir pour optimiser le référencement naturel ?
Aux expressions conceptuelles et/ou génériques, préférez des expressions descriptives, utiles pour la navigation de l’internaute au sein de votre blog, mais également optimisées pour le référencement naturel : une étude de mots clés est recommandée, en amont de la mise en place des catégories et des étiquettes, afin d’utiliser des expressions pertinentes et efficaces. Par exemple, il sera préférable de nommer une catégorie « offres emploi ESS », plutôt que « offres emploi », ou encore « norme économie circulaire » plutôt que « norme ».
Hiérarchie des catégories et tags, et autres bonnes pratiques
Il est préférable de créer la structure organisationnelle des contenus, ou, autrement dit, de réfléchir à une stratégie de nommage des catégories (par grande famille de thématiques qui seront abordées) et de tags, dès la mise en ligne du site. Cela évite d’avoir à modifier les catégories et les étiquettes par la suite, et donc de devoir procéder à des redirections de pages d’archives pour éviter les erreurs 404.
Parmi les autres bonnes pratiques, et sans que la liste soit exhaustive :
- Il est recommandé de ne pas multiplier les catégories. Ou tout au moins de créer des catégories qui seront régulièrement alimentées avec de nouveaux contenus. Commencer avec 4 à 10 catégories « majeures » nous semble optimal. Quitte à ensuite créer d’autres catégories ou sous-catégories.
- Pour les tags, leur nombre peut être beaucoup plus important. Mais là encore, ne les multipliez pas à l’infini.
- Ne nommez pas vos catégories et vos étiquettes avec les mêmes expressions : cela crée des doublons. Les noms des étiquettes doivent être plus spécifiques que ceux des catégories.
- Il convient de remplir la meta description des pages d’archives générées, afin que celle-ci s’affiche dans les moteurs de recherche.
- Pour chaque contenu publié, sélectionnez entre 1 et 3 catégories, et une dizaine maximum d’étiquettes. Les étiquettes affectées à chaque contenu doivent être cohérentes avec les idées développées.
Dans tous les cas, il est indispensable de capitaliser sur chaque expression utilisée, que ce soit pour les catégories ou les tags. En effet, si l’internaute clique sur une catégorie ou une expression (nuage de mots clés) qui ne renvoie qu’à un seul article, l’expérience utilisateur n’est pas optimale. Sans compter que pour le référencement naturel, c’est inefficient, puisque les moteurs de recherche remontent prioritairement les pages d’archives qui comportent plusieurs contenus.
Taux de conversion : site internet et e-mailing
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Taux de conversion : site internet et e-mailing
Le taux de conversion d’un site web
Le taux de conversion (appelé aussi taux de transformation) est le ratio entre le nombre de visiteurs ayant effectué une action sur un site web, définie préalablement comme un objectif de conversion, et le nombre total de visiteurs sur une période donnée.
Les objectifs de conversion peuvent être de différente nature : soumission d’un formulaire (demande d’informations complémentaires, demande de rendez-vous, demande de démo, inscription à un webinaire, inscription à une newsletter, téléchargement d’un guide pratique…), appel de l’entreprise, ajout d’un article au panier, vente réalisée, visite de telle ou telle page, article lu à plus de 90 % …
Le taux de conversion d’un e-mailing
Sur le même principe, le taux de conversion d’un e-mailing est calculé en fonction de l’action réalisée par les destinataires, et définie comme un objectif marketing à atteindre : inscription à un évènement, demande de devis, téléchargement d’un document, achat du produit promu, etc.
Pourquoi cet indicateur est important ?
Dans le domaine du webmarketing, la mesure taux de conversion permet de suivre l’efficacité des actions mises en place et d’en déduire les améliorations nécessaires : changement de design et/ou d’ergonomie, évolution de l’arborescence, déplacement des « call-to-action » (par exemple, bouton « demande de devis »), simplification du parcours des visiteurs, optimisation des articles existants, rajout de nouveaux « leads magnets » (livre blanc, guide pratique…), etc.
Référencement naturel : 10 étapes clés pour réaliser votre étude de mots-clés
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Référencement naturel : 10 étapes clés pour réaliser votre étude de mots-clés
Alors que les moteurs de recherche, et notamment Google, modifient en permanence leur algorithme, il a un point qui ne change pas pour optimiser le référencement naturel (SEO) de votre site internet : identifier les mots-clés pertinents pour améliorer le classement de votre site dans les résultats des moteurs de recherche et attirer du trafic qualifié sur votre site. 10 conseils pour réaliser votre étude de mots-clés.
1/ Déterminez les grandes thématiques sur lesquelles il est important que votre site remonte dans les moteurs de recherche
Ces thématiques sont évidemment en lien avec les produits et services que votre entreprise propose. Classez-les par grandes familles.
2/ Établissez une première liste de mots-clés en lien avec les thématiques identifiées à l’étape 1
Si vous avez des difficultés à identifier des termes de recherche pertinents, vous pouvez vous appuyer sur les services qui sont en contact avec vos clients et prospects (avant-vente, vente, SAV, marketing produit, etc.) afin de leur demander quels termes ces derniers utilisent, quels sont leurs problématiques et besoins.
3/ Listez les mots-clés sur lesquels votre site est déjà indexé
Pour cette étape, la Google Search Console sera votre amie. Faites un tri entre ceux qui sont pertinents pour remonter du trafic qualifié et ceux qui ne le sont pas.
4/ Étoffez votre liste avec les termes de recherche utilisés par les internautes
Saisissez les mots-clés que vous avez identifiés au cours des étapes 2 et 3 dans la barre de recherche de Google, et notez les suggestions d’expressions proposées en saisie semi-automatique (prédictions de recherche) pertinentes pour votre entreprise. Saisissez chaque mot-clé dans Google et notez les « recherches associées » proposées par le moteur de recherche en bas de page. Les algorithmes d’intelligence artificielle de Google sont de plus en plus poussés, et les suggestions de plus en plus fines : vous obtiendrez des idées d’autres mots-clés. Des solutions comme SEMrush, Ubersuggest ou Yooda simplifient également cette étape en suggérant des requêtes dérivées, similaires ou associées.
5/ Identifiez les mots-clés sur lesquels sont positionnés vos concurrents
Une solution telle que Screaming Frog SEO Spider permet de scanner les pages des sites de vos concurrents, et de repérer les expressions positionnées dans les principales balises HTML clés (titre, h1, h2, méta description…). Un outil comme SEMrush facilite le repérage de vos concurrents communicationnels, la comparaison des performances de plusieurs sites sur plusieurs expressions-clés et l’identification des mots-clés sur lesquels sont positionnés vos concurrents.
Cette étape vous donnera une idée d’autres expressions potentiellement intéressantes pour votre site. Elle vous permettra également identifier les mots-clés sur lesquels vos concurrents ne sont pas positionnés, ce qui vous confèrera un avantage en référencement naturel, si vous les utilisez.
6/ Identifiez la volumétrie moyenne de recherche et la concurrence sur vos mots-clés
Des solutions comme SEMrush, Ubersuggest ou Yooda permettent d’avoir de la visibilité sur le nombre moyen de requêtes mensuelles pour chaque mot-clé identifié, ainsi que sur le plus ou moins grand degré de concurrence.
7/ Étudiez les tendances avec Google Trends (optionnel)
Recoupez avec Google Trends pour ce qui concerne l’évolution du nombre de requêtes dans le temps. Cette étape vous aidera à déterminer quelles expressions ont une tendance à la hausse, et valent le coup d’être privilégiées. Ou l’inverse : quelles expressions sont en régression et ne méritent pas d’être retenues. Elle pourra également vous permettre d’identifier des expressions qui pourraient être intéressantes à terme, et sur lesquelles il serait intéressant d’investir dès maintenant pour récolter les fruits plus tard.
8/ Investissez dans les expressions de longue traine
Les mots-clés de longue traine (long tail, en anglais) sont des séquences de mots-clés contenant quatre mots ou plus. A la différence des mots-clés « génériques », qui comportent un à trois mots. Les mots-clés « génériques » ont un plus grand volume de recherche (et donc un plus grand potentiel pour augmenter le trafic vers votre site) mais sont bien souvent plus concurrentiels et ne génèrent pas forcément du trafic très qualifié (hors marchés de niche).
Par exemple, un internaute qui lance une recherche avec l’expression « relations presse » peut le faire pour une multitude de raisons qui n’ont pas forcément un rapport avec les services que propose une agence de relations presse. En revanche, il y a de fortes probabilités qu’une personne saisissant « agence de relations presse ESS » soit à la recherche une agence spécialisée dans le me secteur de l’ESS. Les requêtes avec des expressions de longue traine, si elles sont moins nombreuses, apportent un trafic plus qualifié qu’une requête générique. Elles ne sont toutefois pas toujours repérables avec SEMrush, Ubersuggest ou Yooda. Il faut les imaginer, les tester, ou à nouveau regarder les suggestions de recherche proposées par Google (cf. étape 4).
9/ Finalisez votre liste de mots-clés
Les étapes 4, 5, 6, 7 et 8 permettent de repérer les mots-clés pour lesquels il sera difficile d’obtenir de bons résultats, du fait d’une trop forte concurrence ou parce qu’ils sont trop génériques, les mots-clés pour lesquels de bons résultats sont atteignables (bon ratio nombre de requêtes / concurrence), les expressions long tail ainsi que les mots-clés « tactiques » pas ou peu utilisés par vos concurrents. L’étape 9 consiste à finaliser une liste d’expressions efficaces pour faire progresser le référencement naturel, à court et moyen terme.
10/ Réévaluez vos mots-clés régulièrement
Le référencement naturel est un travail sur le moyen et le long termes. Il faut réévaluer vos mots-clés régulièrement en fonction des résultats obtenus. Au fur et à mesure que vos pages remonteront dans les résultats des moteurs de recherche, ou à l’inverse, ne remonteront pas correctement, il faudra analyser quels mots-clés fonctionnent, fonctionnent moins bien, ont progressé ou ont régressé, et comprendre pourquoi. Objectifs : maintenir les bonnes positions acquises, trouver des solutions pour les mots-clés qui sont à la peine et commencer à travailler d’autres mots-clés plus spécifiques, pour une optimisation en continu du référencement naturel.
Ecrire pour le web : la règle de la pyramide inversée
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Ecrire pour le web : la règle de la pyramide inversée
Héritée du journalisme, la règle de la pyramide inversée se réfère à une structure de contenus où l’information la plus importante (ou ce qui pourrait même être considéré comme la conclusion) est placée au début, pour capter l’attention, suivi par plus de détails sur le même sujet. Quelles sont les bonnes pratiques pour écrire en pyramide inversée ? En quoi cette technique est adaptée aux spécificités de la lecture web ?
Comment écrire en pyramide inversée
Incontournable pour rédiger un communiqué de presse, l’écriture en pyramide inversée est également indispensable pour accrocher les internautes et leur donner envie de poursuivre la lecture ou leur navigation sur votre site. Elle obéit à quelques bonnes pratiques, résumées en cinq points ci-dessous.
1/ Identifiez l’idée principale que vous souhaitez transmettre : le titre et l’introduction
Quelle information vos lecteurs doivent savoir et retenir, même s’ils ne lisent que le titre et l’introduction de votre page ? Qu’est-ce qui résume efficacement toutes les informations qui vont suivre ? Le titre et l’introduction (également appelée accroche ou chapô) constituent à eux-seuls la base de l’information. Le reste de l’article ne fait qu’apporter plus de détails.
Le titre doit être court. L’accroche doit se limiter à un paragraphe et être mise en gras pour la mettre en valeur.
2/ Listez et hiérarchisez les idées secondaires
Rédigez en donnant la priorité aux informations susceptibles d’intéresser le plus votre audience, puis continuez avec des éléments de détails ou plus nuancés. Faites des phrases concises, utilisez un vocabulaire adapté au public visé et évitez le jargon, voire les anglicismes.
3/ Mettez en valeur les idées secondaires : les intertitres
Pour faciliter la lecture et le balayage rapide de l’article, prévoyez des intertitres. Soignez la première phrase de chaque paragraphe afin qu’elle contienne l’information la plus importante du paragraphe.
4/ Soignez vos balises HTML et le nommage de vos images et illustrations
Utilisez les mots-clés pertinents et utiles pour le référencement naturel dans le titre, l’introduction et les intertitres. Balisez le titre en <h1> et les intertitres en <h2> pour faciliter leur indexation par les moteurs de recherche. Soignez les mots-clés de vos ancres de liens, c’est-à-dire les mots-clés cliquables pour atteindre une autre page. Nommer vos images avec des mots-clés correspondant à l’idée principale développée dans votre contenu.
5/ Envisagez d’ajouter un résumé (optionnel)
Eventuellement, ajoutez un encadré qui résume les points clés développés dans la page en un paragraphe court ou sous forme de liste à puces.
Les avantages de la pyramide inversée pour le web
La technique d’écriture de la pyramide inversée est particulièrement adaptée pour le web, quelle que soit la taille de l’écran, car elle apporte une réponse aux habitudes de lecture des internautes. Cinq raisons de l’adopter pour tous vos contenus web : home page, pages internes et articles.
1/ Aller droit au but, faciliter la compréhension générale
Les internautes qui arrivent sur la page peuvent se faire rapidement une idée d’ensemble de l’information développée et évaluer s’ils veulent poursuivre leur lecture, puisque l’information principale se situe au début.
2/ Capter l’attention des internautes
Les internautes passent très peu de temps sur les pages. Si le titre et l’introduction les accrochent, vous maximisez les chances qu’ils poursuivent leur lecture (ou navigation sur le site).
3/ Permettre une lecture rapide de votre contenu
La hiérarchisation et la structuration logique des idées ainsi que le découpage en plusieurs paragraphes facilitent la lecture « en diagonale » de votre contenu.
4/ Faciliter la mémorisation de l’information principale
Le titre et l’introduction comprennent l’information principale. Les visiteurs peuvent s’arrêter de lire n’importe où dans la page, ils auront mémorisé le message le plus important.
5/ Optimiser le référencement naturel (SEO)
Le titre, les premières phrases de votre contenu web et les intertitres comprennent les idées-clés, et par conséquent les mots-clés pertinents et utiles pour optimiser votre référencement naturel.
10 conseils pour réussir une interview presse
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10 conseils pour réussir une interview presse
Votre communiqué de presse a suscité l’intérêt d’un(e) journaliste et il(elle) souhaite s’entretenir avec vous pour en savoir plus ? Votre attaché(e) de presse a réussi à déclencher un interview avec un média ? Un(e) journaliste vous a repéré sur Twitter, ou en faisant des recherches sur Google, comme étant susceptible de répondre à ses questions pour un dossier qu’il(elle) prépare ? Les interviews presse sont une excellente occasion de partager votre expertise et de faire connaître votre entreprise, ses produits ou services. Mais pour qu’elles génèrent une retombée presse, quelques règles sont à respecter. 10 conseils pour réussir votre prochaine interview presse.
1/ Renseignez-vous sur le média et le journaliste qui va vous interviewer
Quels types de sujets couvre le média ? Quel est son format, sa périodicité, son angle rédactionnel, son style ? Quelle est la rubrique (actualités, dossier, point de vue, etc.) pour laquelle vous allez être interviewé ? Quels sujets traite habituellement le journaliste ? Est-il généraliste ou spécialiste ? Quel est son niveau de connaissance ou d’expertise par rapport à votre secteur d’activité ? Comprendre et connaitre le média, ainsi que le journaliste, va vous aider à préparer votre interview, à déterminer les messages à faire passer par rapport au public ou lectorat du média.
2/ Choisissez le bon interlocuteur dans votre entreprise
Les dirigeants d’une entreprise ne sont pas forcément les mieux placés pour répondre aux interviews, notamment quand il s’agit de sujets d’expertise. Choisissez l’interlocuteur en fonction de la thématique à aborder, qui saura répondre précisément aux questions. Et pas un simple porte-parole chargé de répéter des messages « prêts à l’emploi » qu’il n’incarne pas ou qu’il ne maitrise pas.
3/ Préparez quatre à cinq messages clés
Quels sont les quatre à cinq messages clés que vous voulez faire passer ? Que doit savoir le journaliste pour comprendre ce que fait votre entreprise ou les avantages de votre produit ou service ? Préparez une présentation en 2 minutes de votre entreprise : activité, chiffres clés, implantations, etc.
Ne vous attendez pas à ce que le journaliste soit un expert de votre secteur : même s’il est spécialisé, il le sera toujours un peu moins que vous. N’hésitez pas à faire des analogies, à donner des exemples, pour asseoir vos propos. Si vous pouvez l’aider à comprendre les faits, les données, les tendances, vous avez toutes les chances de devenir une ressource précieuse pour votre interlocuteur, qu’il n’hésitera pas à solliciter ultérieurement. Les relations presse s’inscrivent dans le temps.
Un journaliste peut ne pas poser les questions auxquelles vous souhaiteriez répondre. Dans ce cas, répondez aux questions posées et orientez vos réponses vers les sujets que vous souhaitez aborder.
En début d’entretien, demandez de combien de temps vous disposez, afin de caler vos réponses et vos messages clés dans le temps imparti.
4/ Anticipez les questions et entrainez-vous !
Pensez aux questions qui pourraient vous être posées sur votre marché, votre entreprise, vos produits ou vos services, et exercez-vous à répondre à ces questions. Vous n’avez pas besoin de mémoriser les réponses, mais en vous exerçant, vous serez plus à l’aise le jour J. Vous pouvez coucher vos messages clés sur papier, en quelques mots. Voire vous enregistrer, vous filmer. Répétez autant de fois qu’il est nécessaire. Plus vous préparez vos messages clés, plus il y a de « chance » qu’ils soient intégrés et repris par le journaliste.
5/ Préparez les 10 questions que vous ne voulez pas qu’on vous pose
Ces questions ne vous seront peut-être pas posées, mais vous serez prêt à y répondre, le cas échéant. Dans tous les cas, ne pas éluder les questions car le journaliste reviendra sans doute à la charge pour obtenir ses réponses. Soyez franc et dites les raisons pour lesquelles vous ne pouvez pas répondre : cette information est confidentielle ; votre fonction ne le permet pas ; en l’état actuel des connaissances, vous ne pouvez pas vous positionner, etc. Éventuellement, communiquer le nom d’une personne habilitée à transmettre l’information (ou le chiffre), même s’il est possible que le journaliste se heurte à nouveau à un refus.
6/ Démontrez que vous connaissez votre écosystème et vos concurrents
Même si vous pensez que vous n’avez pas de concurrents directs, le journaliste pourra faire un lien avec d’autres entreprises, dont les activités sont approchantes. Vous devez les connaître et être en mesure d’expliquer ce qui vous distingue d’elles. Ne dénigrez jamais vos concurrents, mais soyez prêt à démontrer et à expliquer en quoi et pourquoi vous êtes différent.
7/ Bloquez votre créneau et soyez à l’heure
Le journaliste donne de son temps pour vous parler. La moindre des politesses est d’être à l’heure et de prévoir le temps nécessaire pour répondre à ses questions. Il arrive que les journalistes soient en retard. Dans ce cas, patientez.
8/ Soyez à l’écoute et vigilant
Ne parlez pas trop vite, pour laisser au journaliste le temps de prendre ses notes. Soyez à l’écoute de votre interlocuteur pour identifier les éventuels points qu’il aurait mal compris. Dans le cas d’une interview croisée, écoutez les autres personnes consultées. Cela vous permettra de rebondir sur un message, pour le renforcer ou le compléter. Ou au contraire, de prendre le contre-pied de ce qui s’est dit, en argumentant votre point de vue. Dans tous les cas, aucune information n’est « off the record » : partez du principe que tout ce que vous avancez peut être relayé par le journaliste.
9/ Parlez clairement, soyez précis et évitez le jargon
Faites des phrases simples et veillez à ce que vos messages soient clairs et faciles à comprendre pour le journaliste. Évitez le jargon et, dans la mesure du possible, les anglicismes. Ne présumez pas que le journaliste connait tout du sujet ou de votre entreprise. Expliquez. Si le journaliste ne comprend pas ce que vous dites, il n’écrira pas sur vous.
10/ Ne demandez pas à relire l’article avant sa parution !
L’entretien semble s’être bien déroulé mais vous n’êtes pas serein sur la façon dont vos propos vont être restitués ? Sachez que la relecture d’un article n’est pas un droit, et est même contraire aux bonnes pratiques. Il est d’usage que les journalistes proposent de relire les citations, à savoir les propos qui vous seront attribués, mais ce n’est en aucun cas systématique.
Vous avez consacré beaucoup de votre précieux temps au journaliste, qui n’a finalement pas parlé de votre entreprise, ou très peu. Vous êtes déçu, et c’est bien naturel. Il est possible que vous n’ayez pas été suffisamment clair, pertinent et/ou précis. Si bien que le journaliste n’a pas obtenu les informations dont il avait besoin. L’angle du papier ne se prêtait peut-être finalement pas pour écrire davantage sur votre entreprise ou relayer plus votre point de vue. Dans tous les cas, inutile d’appeler le journaliste pour l’incendier. Il ne vous doit rien. Cultivez la relation… pour de prochains articles !
Référencement naturel WordPress : bonnes pratiques, une fois votre site web mis en ligne
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Référencement naturel WordPress : bonnes pratiques, une fois votre site web mis en ligne
Ci-dessous une check-list des principaux points de vigilance pour que votre site, développé sous WordPress, reste « propre » une fois mis en ligne, et soit optimisé en continu pour le référencement naturel.
Ci-dessous une check-list des principaux points de vigilance pour que votre site, développé sous WordPress, reste « propre » une fois mis en ligne, et soit optimisé en continu pour le référencement naturel.
- Mettre régulièrement de nouveaux contenus en ligne.
- Les pages ou articles doivent contenir un minimum de 300 mots.
- Utiliser les mots clés dans les titres et les intertitres (<title>,<h1> et <h2>) des pages et des articles. Surtout dans les <title> et les <h1>.
- Nombre de caractères recommandé pour le <title> et le <h1> : ne pas dépasser environ 70 caractères espaces compris.
- Toutes les pages doivent comporter un <h1>.
- Un seul <h1> par page.
- Eviter que les libellés du <title> et du <h1> soient identiques, pour optimiser vos pages et articles pour la longue traîne.
- Ne pas donner le même <h1> / <title> à 2 pages ou à 2 articles.
- Renseigner la méta description des pages et des articles : 160 caractères maximum. Les balises méta sont un résumé de votre page ou de votre article. Elles doivent contenir le ou les mots clés / concepts clés de la page ou de l’article.
- Optimiser le poids des images.
- Utiliser les mots clés pour nommer vos images et les PDF.
- Systématiquement renseigner la balise ALT des images.
- Utiliser les mots clés dans les balises ancre (liens internes ou externes).
- Les noms des « catégories » d’articles et des « tags » ne doivent pas être identiques.
- Ne pas créer de pages orphelines : toutes les pages doivent pouvoir être accessibles via un lien « logique » (menu, footer, lien interne…).
- En cas de réécriture d’une URL, mettre en place une redirection de l’ancienne URL vers la nouvelle.
- En cas de suppression d’une page ou d’un article, mettre en place une redirection vers la home page ou une page « approchante », pour éviter les erreurs 404.
- En cas de création d’une entrée de menu ou d’une page (vide) qui redirige directement vers une autre page (interne ou externe), mettre la page en no-follow / no-index.
Cette liste n’est pas exhaustive, mais elle évite les principales erreurs préjudiciables à un bon référencement naturel.
Cette liste n’est pas exhaustive, mais elle évite les principales erreurs préjudiciables à un bon référencement naturel.
Marketing de contenu : les cinq facteurs clés de réussite
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Marketing de contenu : les cinq facteurs clés de réussite
Attirer les internautes sur votre site Internet, convaincre vos prospects et/ou fidéliser vos clients, grâce à une présence en ligne renforcée (amélioration du référencement naturel, alimentation de votre site Internet et de vos comptes de réseaux sociaux…). Telles sont les promesses du marketing de contenu. Des promesses qui sont bien au rendez-vous, pour peu de respecter quelques bonnes pratiques.
1 – Définir une stratégie éditoriale
Face à l’explosion du nombre de contenus en ligne, dont la qualité et l’originalité sont tout à fait variables, comment faire pour se démarquer ? Le marketing de contenu n’est pas “magique” : il nécessite de définir, en amont, une stratégie éditoriale. Cette étape est bien souvent négligée alors qu’elle est cruciale pour garantir l’efficacité du dispositif sur le long terme.
Avant de vous lancer, il est indispensable de :
- Définir vos objectifs : notoriété, visibilité, fidélisation, génération de leads…
- Identifier vos cibles de communication ainsi que leurs besoins : à quoi s’intéressent-elles, et où vont-t-elles chercher les réponses à leurs questions ?
- Décider des formats et du ton à adopter, selon la cible
- Choisir les canaux et plateformes sur lesquelles les contenus seront diffusés. Inutile d’être trop ambitieux : à vouloir développer une présence partout, on finit par s’y perdre. Il faut aller chercher les cibles là où elles se trouvent !
- Choisir les thématiques et les sujets de prise de parole
- Etudier les expressions clés usuellement utilisées par les internautes et par vos concurrents autour de ces thématiques
- Définir un calendrier des contenus à produire sur les 3 à 6 prochains mois
2 – Internaliser ou externaliser la production de contenu ?
Evaluez d’abord ce que vous pouvez faire en interne, selon les appétences et le niveau de disponibilité de vos équipes. Certains de vos collaborateurs sont partants pour l’aventure ? Donnez-leur les moyens et le temps de produire les contenus en les déchargeant d’autres missions, par exemple.
La tactique la plus efficace consiste le plus souvent à sous-traiter une partie ou l’intégralité de cette production à un tiers. De nombreuses agences ou indépendants proposent désormais ce type de prestations. Gardez en tête que même si vous externalisez, il vous faudra consacrer du temps pour échanger avec ces tiers, leur transférer votre expertise et leur donner du grain à moudre… surtout si votre entreprise évolue dans un secteur nécessitant de fortes compétences métiers ou techniques.
3 – Privilégier la qualité à la quantité
Veillez à vous fixer des objectifs atteignables : si vous n’avez ni le temps ni le “fond” pour développer de nouveaux contenus une fois par semaine, ne vous ne vous engagez pas à le faire ! N’oubliez pas qu’il est plus important de délivrer un contenu qui intéresse vos cibles que de produire dans le seul but d’atteindre vos objectifs quantitatifs. Au final, ce sont les contenus à forte valeur ajoutée (ou réellement originaux) qui font la différence : ils restent en pole position des résultats sur les moteurs de recherche, et sont donc ainsi visibles, lus et partagés, sur le long terme. Ne cédez donc pas, non plus, au chant des sirènes des “vendeurs de contenus” à trop bon marché : produire du contenu de qualité prend du temps et nécessite une réelle expertise.
Vous aurez peut-être à revoir vos ambitions à la baisse ou, au contraire, à la hausse. Si vous ne tenez pas vos objectifs, faites un choix : sous-traitez, ralentissez le rythme ou sacrifiez certains contenus.
4 – Peaufiner la forme, diffuser sur les bons canaux
Une fois le contenu créé, il faut le rendre le plus attractif et le plus visible possible par vos cibles. Faute d’équipes dédiées en interne, il est préférable d’externaliser plutôt que de perdre un temps précieux à tenter de le mettre en valeur et le diffuser par vous-même. Une option que privilégient pourtant de nombreuses petites entreprises pour limiter les coûts, mais qui se révèle la plupart du temps peu efficace.
En effet, le savoir-faire et les compétences nécessaires pour mettre en page un contenu, le diffuser sur les bons canaux (e-mailing, réseaux sociaux…), améliorer son référencement naturel sur les moteurs de recherche (SEO), le promouvoir efficacement auprès des journalistes et influenceurs clés, etc., ne s’acquièrent pas en 5 minutes !
5 – Mesurer et se concentrer sur ce qui marche
Vous n’aurez pas de visibilité avant plusieurs semaines sur ce qui fonctionne, et pourquoi cela fonctionne. Ou l’inverse. Soyez attentif à l’évolution du trafic sur votre site Internet ou blog, aux résultats sur les moteurs de recherche, aux pages les plus consultées, à la résonance de vos contenus dans les médias classiques et sociaux.
Utilisez des outils de veille, Google Analytics ou demandez simplement à vos prospects comment ils vous ont trouvé. Au fur et à mesure, éliminez les tactiques, les canaux ou plateformes qui ne donnent pas de bons résultats. Vous avez des retours intéressants sur LinkedIn mais moins de résonance que prévu sur Twitter ? Tranchez. Vous économiserez ainsi du temps et de l’argent que vous pourrez investir ailleurs.
Référencement naturel (Search Engine Optimization ou SEO, en anglais)
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Référencement naturel (Search Engine Optimization ou SEO, en anglais)
Quand un internaute saisit une expression sur un moteur de recherche (le plus souvent Google), une liste de résultats de sites apparait, classés par ordre de pertinence, selon un algorithme complexe (et tenu secret) et qui évolue en permanence. La majorité des internautes consultent les liens proposés sur la première page de résultat. D’où l’intérêt d’être situé le mieux possible dans les pages de résultats.
L’optimisation du référencement naturel, qui est aussi appelé SEO (pour Search Engine Optimization), désigne un ensemble de techniques destinées à améliorer le positionnement de votre site Internet (ou blog) dans les résultats des moteurs de recherche. Pour, au final, augmenter le trafic qualifié sur votre site ou blog.
Le SEO doit être pris en compte dès la conception d’un site Internet, grâce à une conception, une structure et à des contenus (mots clés) pensés pour être en phase avec les expressions utilisées par vos cibles. Pour un site existant, il consiste à identifier les facteurs bloquant une meilleure indexation, qui peuvent techniques, structurels, rédactionnels… En complément de ce travail d’optimisation du site, un travail externe doit être mené pour améliorer la « réputation » (autrement dit la « crédibilité ») de votre site. Et notamment la mise en place de liens entrants (backlinks) depuis des sites ou portails – qui ont une bonne réputation – vers votre site Internet.