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Pourquoi sous-traiter la rédaction des contenus de votre site web ?
Produire des contenus de qualité pour vous démarquer de la concurrence, améliorer la visibilité de votre entreprise, association ou fondation sur Internet, générer du trafic qualifié sur votre site web, etc., sont autant de raisons de sous-traiter la rédaction des contenus de votre site web. Confier cette mission à un professionnel qui maitrise toutes les spécificités de cet exercice est, sans aucun doute, un choix gagnant.
Intégrer le référencement naturel dès la conception du site
L’une des particularités de l’écriture web est de contribuer à l’amélioration du référencement naturel d’un site web ou d’un blog.
Qu’est-ce que le référencement naturel (SEO) ?
Le SEO est l’acronyme anglais de Search Engine Optimisation ou « référencement naturel ». Il se traduit par une stratégie et des actions dont le but est d‘améliorer le classement et la visibilité d’un site dans les résultats des moteurs de recherche, principalement Google.
L’objectif du SEO est de positionner votre site Internet dans la première page des résultats (75 % des internautes ne consultent pas les résultats au-delà de la première page). La production de contenus de qualité et bien structurés, que ce soit pour les pages fixes ou pour le blog de votre site, est un élément déterminant pour améliorer le référencement naturel.
Stratégie de mots clés en fonction des requêtes réalisées par les internautes
En amont de toute démarche SEO, il est incontournable de réaliser une étude de mots clés, autrement dit d’identifier concrètement les requêtes effectuées par les internautes dans leurs recherches. Cette étude permet de déterminer les mots clés, c’est-à-dire le champ lexical à travailler pour améliorer le classement de votre site dans les résultats des moteurs de recherche. Par exemple, pour un caviste proposant des vins naturels à Bordeaux, l’objectif sera de faire remonter le site sur la requête « acheter des vins naturels à Bordeaux » ou « caviste vins naturels bordeaux ». Le champ lexical comprendra les mots clés suivants : vins naturels bordeaux, vins sans sulfite, etc.
Pour autant, il ne s’agit pas de suroptimiser les sites avec des mots clés. Les algorithmes de Google pénalisent désormais les sites qui pratiquent le « bourrage de mots clés » (« keyword stuffing ») au détriment d’un contenu de qualité.
L’arborescence du site, le maillage interne
En amont de toute création ou refonte de site web, il est impératif de définir une arborescence pour organiser le contenu d’un site (pages, articles de blog…). Cette arborescence est essentielle aux internautes pour naviguer d’une page à l’autre et trouver facilement l’information. Elle est également clé pour les moteurs de recherche qui scannent la structure du site pour repérer le contenu pertinent à afficher dans leurs résultats.
Du fait de sa connaissance des bonnes pratiques en matière de stratégie de communication à adopter en fonction de vos cibles, d’optimisation des parcours utilisateurs et de référencement naturel, sous-traiter la définition de l’arborescence cible à un professionnel est un bon moyen de trouver le bon équilibre entre :
- Une organisation des informations adaptée à vos objectifs stratégiques ;
- Une meilleure accessibilité des informations pour les cibles prioritaires de votre organisation ;
- Une organisation des contenus pensée pour améliorer le référencement naturel du site.
Par ailleurs, un arbitrage doit être fait concernant la longueur des contenus des pages du site : elles doivent être suffisamment longues pour comporter les éléments nécessaires à un bon positionnement SEO (un minimum de 300 mots est conseillé pour les pages, tandis que pour les articles, 600 à 800 mots sont recommandés). Mais, en parallèle, il est impératif de travailler le contenu pour que les internautes disposent d’une information claire et concise.
Ici, entre en jeu le « maillage interne » du site. Pour éviter des contenus trop longs, il s’agit de mettre en place des liens permettant de naviguer d’une page à l’autre en gardant le lecteur sur le site.
Le balisage HTML : définition, utilité, utilisation
Les balises HTML donnent des indications au navigateur sur la façon d’afficher le contenu de la page.
Certaines d’entre elles sont particulièrement importantes pour améliorer le référencement naturel. Par ordre décroissant, il s’agit des balises suivantes :
- La balise « title » est celle qui apparaît dans le résultat les moteurs de recherche. Elle doit être particulièrement travaillée et comporter le mot clé ;
- La balise H1 peut être identique ou non à la balise « title » et doit également comporter le mot clé ;
- C’est également le cas d’au moins une des balises H2 qui définissent les paragraphes principaux.
Les balises HTML clés.
Il est à noter qu’il est vivement conseillé d’utiliser le mot clé de la page ou de l’article dans la balise « meta description », qui s’affiche sous le titre dans les résultats des moteurs de recherche.
Sous-traiter la rédaction du contenu d’un site internet, un pari gagnant
Outre le respect des bonnes pratiques pour améliorer le référencement naturel de votre site dès sa conception, externaliser la rédaction des contenus de votre site web présente d’autres avantages, notamment pour vous démarquer de la concurrence, réduire le taux de rebond et transformer vos visiteurs en prospects.
Économiser du temps et de l’argent
Recourir à un prestataire pour la rédaction de votre site est bien entendu une dépense, mais elle vous permet de gagner beaucoup de temps. Selon une étude d’Orbit Media Studios, la rédaction d’un article de blog prend en moyenne 3 heures et 46 minutes. Autrement dit, l’écriture de dix articles représente près de 40 heures de travail. Or, plus vous produisez de contenus, meilleur sera le référencement naturel. En déléguant cette tâche à un rédacteur professionnel, vous économisez du temps, ce qui vous permet de vous consacrer à d’autres tâches à forte valeur ajoutée pour votre organisation.
Le rédacteur web SEO, un spécialiste de la rédaction sur Internet
La rédaction de contenus adaptés aux spécificités d’Internet ne s’improvise pas. Il existe des techniques d’écriture pour faire en sorte que les internautes restent le plus longtemps possible sur les pages ou articles, mais également pour améliorer le référencement naturel.
Ainsi, des études de « eye tracking » ont mis en évidence que les lecteurs d’un site ont l’habitude de balayer l’écran en commençant par le haut, puis de gauche à droite (selon le principe de la lecture en F). Autrement dit, le titre et l’introduction doivent être les plus pertinentes possibles afin de garder le visiteur sur la page. Cela est d’autant plus vrai qu’une majorité d’internautes sont à présent des mobinautes.
Eye tracking : les zones clés pour conserver le lecteur.
Fort de ce constat, l’écriture web implique de maitriser la technique de la « pyramide inversée », qui consiste à donner dès le début de la page (ou de l’article) les informations des plus utiles : il s’agit d’aller droit au but et de positionner les détails plus bas dans la page (ou de l’article).
La lisibilité d’un texte est également un élément très important sur le web. Il est conseillé d’utiliser des phrases courtes et des structures simples (sauf si votre audience cible maitrise et apprécie le langage soutenu). De plus, les paragraphes doivent être courts et aérés pour éviter de fatiguer le lecteur.
Une autre technique propre au web est celle du copywriting, c’est-à-dire la faculté de convaincre un prospect par les mots. Il s’agit par exemple de titres accrocheurs, de privilégier le présent des verbes au lieu du futur, de ne pas utiliser les formules négatives ou la voie passive.
Travailler avec un rédacteur web
Le choix du rédacteur web
Le choix d’un rédacteur web peut apparaître compliqué : face à une abondance d’offres à des tarifs très variables, il y a de quoi être perdu ! Aussi, il est conseillé de se tourner vers les rédacteurs expérimentés et de demander quelques exemples de contenus rédigés.
Par ailleurs, si votre activité requiert une expertise pointue, il est préférable de recourir aux services d’un rédacteur web spécialisé et de le tester sur ce domaine. Pour autant, il peut être judicieux de le tester sur un contenu généraliste. En effet, un prestataire peut être spécialiste de son domaine sans avoir des qualités rédactionnelles requises. A l’inverse, un rédacteur généraliste (et curieux !) peut très bien monter progressivement en compétence sur un sujet.
Définition des personas
Pour attirer les clients potentiels et augmenter votre taux de conversion, une étape essentielle consiste à définir vos cibles de communication (les personas).
Il s’agit de formaliser le portrait-robot des principaux publics d’un site, leurs caractéristiques et leurs motivations. En effet, et à titre d’exemple, pour une association, un texte à destination de potentiels donateurs n’aura pas les mêmes caractéristiques ni le même ton qu’un texte pour les bénévoles.
Pour définir les personas, plusieurs sources d’informations peuvent être mobilisées : statistiques, sondages, contenus communautaires, expérience recueillie auprès des personnes au contact du public dans l’entreprise, etc.
Les éléments de contractualisation
Si la collaboration avec le rédacteur web s’inscrit dans la durée, il est recommandé de formaliser les modalités du partenariat dans un contrat, qui comportera les éléments suivants :
- Les sources d’information : interview, briefing, rapports, etc.
- Les modalités de restitution des travaux (fichier Word, publication des contenus sur votre site web impliquant la maitrise du CMS utilisé…) ;
- Le suivi du projet : interlocuteur référent et modalités de communication afférentes à la gestion du projet ;
- Le délai de restitution des travaux ;
- Les modalités du contrôle de la qualité ;
- Les éléments relatifs à la confidentialité des informations communiquées par le client au rédacteur ;
- La propriété intellectuelle du texte remis : il peut par exemple être prévu que les contenus produits par le rédacteur deviennent la propriété du client dès lors que les factures émises ont été réglées intégralement.
- Et évidemment, la grille tarifaire du rédacteur : au forfait, au mot source, au feuillet, etc.
Le briefing et les échanges avant publication
Le briefing permet au rédacteur d’obtenir les informations essentielles sur vos attentes. Ce dernier doit être clair et précis et comprendre en particulier :
- Le délai de restitution ;
- La rémunération du rédacteur ;
- Les objectifs du contenu ;
- La thématique à aborder ;
- Les sources documentaires à exploiter et/ou les personnes à interviewer ;
- La longueur attendue.
Si le briefing rédactionnel doit être clair et précis, ce qui fera la différence entre un bon rédacteur web et un « moins bon », c’est sa capacité à être force de proposition concernant les thématiques à aborder (voire à proposer un calendrier éditorial), la structure, l’angle à adopter et la longueur des contenus, la recherche des mots clés pour améliorer le référencement naturel, les sources à exploiter, etc.
Par ailleurs, pour cadrer la mission, éviter les hors sujets et gagner du temps au moment de la relecture, un échange avec le rédacteur avant le début de la mission est indispensable, en particulier pour des textes longs. De même, il est recommandé d’échanger sur le plan du contenu, avant que le rédacteur ne le rédige entièrement, afin de s’assurer qu’il est bien aligné avec vos attentes.
Nous espérons qu’avec ces conseils, vous disposerez des principaux critères pour choisir votre prestataire et engager avec lui une relation dans la durée.
Marketing de contenu et relations presse : quelles synergies ?
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Marketing de contenu et relations presse : quelles synergies ?
Les relations presse doivent faire partie intégrante de toute stratégie de marketing de contenu. Et toute stratégie de marketing de contenu doit utiliser le levier des relations presse. La combinaison des deux disciplines est aujourd’hui indispensable pour améliorer la notoriété et la visibilité de votre organisation et, in fine, générer des contacts.
Relations presse et marketing de contenu : quelles différences ?
Les relations presse (RP) consistent à influencer, à engager et à établir une relation avec les journalistes afin de façonner et d’encadrer la perception publique d’une organisation et d’améliorer sa notoriété. Pour y parvenir, les professionnels des RP créent, entre autres, des contenus à valeur ajoutée (communiqués de presse, tribunes, avis d’expert, retours d’expérience de clients…), qu’ils diffusent à leurs contacts dans les rédactions.
Le marketing de contenu consiste à créer et diffuser un contenu pertinent, conçu pour attirer et fidéliser un public cible préalablement défini. Pour promouvoir les contenus et accroître leur portée, les spécialistes du marketing s’appuient sur des outils tels que l’e-mailing ou les réseaux sociaux, et capitalisent sur toutes les bonnes pratiques pour améliorer leur référencement naturel afin que les contenus remontent en bonne position dans les résultats des moteurs de recherche.
Les RP et le marketing de contenu supposent de définir le bon message, d’identifier les cibles susceptibles d’être intéressées par ce message, et de bâtir des relations fortes avec elles. Dans le cas des RP, l’objectif est de multiplier les retombées médiatiques pour améliorer la notoriété d’une organisation ou d’une marque. Pour ce qui concerne le marketing de contenu, l’objectif est de fidéliser les clients ou d’attirer les internautes sur le site internet de l’organisation pour, in fine, les transformer en clients.
Marketing de contenu et relations presse : quelles complémentarités ?
Le marketing de contenu est aujourd’hui indispensable dans le cadre d’une stratégie de relations presse efficace. La combinaison des deux augmente les chances d’accroître la notoriété de votre orgnisation, d’amplifier la portée de vos messages, d’être identifié comme un leader d’opinion et d’améliorer la visibilité de votre entreprise en ligne.
1. Les contenus facilitent l’établissement de relations pérennes avec les journalistes
La diffusion des contenus à valeur ajoutée aux journalistes permet de construire et d’entretenir des relations mutuellement bénéfiques. Tribunes, avis d’expert, cas client, etc., sont autant de manières d’aider votre organisation à être identifiée comme un expert (ou un leader d’opinion) sur tel ou tel sujet, de donner des idées d’angles de dossiers, de générer des opportunités d’interviews, etc. En d’autres termes, les contenus peuvent aider votre organisation à être identifiée comme une « source » régulière et fiable d’informations par les journalistes.
2. Les RP améliorent la portée et la visibilité des contenus
Compte-tenu du volume exponentiel de contenus publiés sur internet et relayés sur les réseaux sociaux, certains contenus peuvent parfois passer inaperçus. Des articles réguliers et des mentions dans les médias, ayant pour origine des contenus à valeur ajoutée diffusés auprès des journalistes, contribuent à amplifier la portée et la visibilité des messages que véhiculent ces contenus.
3. Les contenus et les RP au service du leadership d’opinion
Les relations presse sont un outil puissant pour améliorer la notoriété d’une organisation par le biais d’interviews ou de prises de position. La couverture médiatique, mais également le relai des retombées médiatiques sur les médias sociaux, contribuent à asseoir les porte-paroles de votre organisation dans un rôle de leader d’opinion.
En parallèle, le marketing de contenu aide ces mêmes porte-paroles à devenir des leaders d’opinion grâce à des contenus uniques et informatifs (avis d’expert, tribunes en réaction à l’actualité, etc.).
4. Les retombées presse et les contenus améliorent votre visibilité en ligne
De nombreux journalistes effectuent leurs recherches sur les réseaux sociaux, d’autres médias ou par le biais des moteurs de recherche (notamment Google). Un contenu rédigé, publié sur votre site internet et bien référencé, ou un article paru dans un média, et/ou relayé sur les réseaux sociaux, démultiplie votre visibilité en ligne, votre capacité à être « trouvable » et, in fine, les opportunités médiatiques.
8 points clés pour construire une stratégie de marketing de contenu efficace
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8 points clés pour construire une stratégie de marketing de contenu efficace
Une stratégie de marketing de contenu en vue d’améliorer le référencement naturel (SEO) ne peut pas être uniquement être pilotée par les mots clés utilisés par les internautes. Elle doit avant tout être pensée pour intéresser (ou séduire) vos publics cibles. La raison d’être de la production de contenus est de transmettre une information utile, d’être lu, compris, écouté et… préféré.
Internet regorge d’articles qui se ressemblent et qui abordent les mêmes sujets, avec les mêmes angles et recettes éditoriales. Une stratégie de marketing de contenu pilotée uniquement par les mots clés peut finir par augmenter le trafic organique sur votre site internet. Mais si vous n’avez rien à dire d’unique, que votre contenu n’est pas de qualité, votre marketing de contenu ne sera pas efficace, quand il ne sera pas déceptif.
Alors que faire pour sortir de la mêlée, à la fois au niveau éditorial et sur le plan du référencement naturel ? Il faut avant tout se poser les questions suivantes :
- Quels sont mes publics cibles ?
- Quels sont leurs attentes, leurs besoins et leurs problématiques ?
- A quoi s’intéresse votre cible ? Où va-t-elle chercher les réponses à ses questions ?
- Quels types de contenus apprécient vos publics cibles ? Sur quels canaux ?
- Qu’est-ce qui vous différencie par rapport à vos concurrents ?
- Quelle est votre singularité et votre proposition de valeur ?
- Comment mettre votre expertise au service de vos publics cibles ?
La clé pour intéresser durablement vos publics cibles est de développer des contenus uniques et différenciants, à l’intersection entre l’expertise de votre entreprise et leurs problématiques. 8 points clés pour construire une stratégie de marketing de contenu efficace.
1. Fixez-vous des objectifs
Repartez des bases. Quels sont vos objectifs ? Notoriété, visibilité, fidélisation, abonnement à une newsletter, génération de leads… ? Cela vous aidera à déterminer le type de contenu à créer et à définir les « call to action » à mettre en place.
2. Identifiez vos publics cibles et leurs problématiques
L’étape suivante consiste à identifier vos publics cibles et leurs problématiques. Au sein de votre organisation, de nombreuses personnes peuvent vous aider, et notamment celles qui interagissent avec vos clients : service clients, avant-ventes et commerciaux, support technique, chefs de produit marketing, community manager, etc. Vous pouvez également consulter les forums et les groupes sur les réseaux sociaux, pour identifier les problématiques de vos cibles.
3. Déterminez votre singularité et votre ligne éditoriale
Il s’agit de comprendre et de déterminer ce qui fait la singularité de votre entreprise, par une observation des territoires de vos concurrents et une écoute de vos cibles. Dans de rares cas, c’est le produit ou le service en lui-même. La majorité du temps, ce sont plutôt d’autres facteurs : vos convictions, votre vision, vos experts, vos méthodologies de travail, vos processus de fabrication, etc. Vos produits ou services ne sont pas « sexys » ? Ce n’est pas un problème. Ce qui est important, c’est de comprendre ce que votre entreprise peut offrir d’unique afin de proposer des contenus plus utiles et plus intéressants que ceux de vos concurrents.
A ce stade, il est aussi important de déterminer quel ton vous souhaitez adopter. Là aussi, cela dépend à la fois de vos cibles et de votre « ADN » : légèrement provocateur, visionnaire, neutre, un brin humoristique, décalé ? Il est important de se sentir à l’aise avec ce ton.
4. Listez les sujets potentiels
Une fois les cibles et leurs problématiques identifiées, la ligne éditoriale et le ton définis, vous allez pouvoir réfléchir aux sujets que vous pourriez développer. Ne vous limitez pas : couchez sur le papier toutes les idées de sujets susceptibles d’intéresser vos cibles. A cette étape-là encore, n’hésitez pas à impliquer d’autres services : avant-ventes et ventes, service client, support technique, marketing produit, etc.
5. Faites une étude de mots clés en relation avec les sujets potentiels
Maintenant que votre liste de (bons) sujets de contenu est établie, plongez-vous dans l’étude des mots-clés en relation avec des thèmes à aborder. Des tas d’outils existent pour connaitre le nombre moyen de requêtes par mois et le degré de concurrence sur les expressions. A commencer par Google Ads (anciennement Adwords), qui fournit ces informations grâce à sa fonction de planification de mots-clés. Il est également intéressant de saisir les mots-clés et thématiques dans Google et de s’intéresser aux suggestions de requêtes approchantes fournies par le moteur de recherche, dont les algorithmes sont de plus en plus pointus, y compris pour les expressions longues.
6. Définissez un calendrier éditorial
En fonction des résultats de vos recherches sur les mots-clés (nombre moyen de requêtes par mois, concurrence), définissez vos priorités et votre calendrier éditorial sur plusieurs semaines. A ce stade, pensez à mettre en place un planning et à avertir les personnes qui vont rédiger les contenus, ou qui vont vous aider à les développer.
7. Créez des contenus durables, qui ne transigent pas sur l’exigence de qualité
De nombreuses entreprises privilégient la quantité à la qualité. Et c’est une erreur. Inscrivez-vous dans une démarche de « responsabilité sociétale et informative ». Rassemblez toutes les informations et données nécessaires à la rédaction de vos contenus : veille, interview d’experts internes ou externes, de vos clients, etc. Ne transigez pas sur l’exigence de qualité et de fiabilité de l’information que vous allez délivrez, pour ne pas décevoir les lecteurs.
Rédigez vos contenus en utilisant les mots-clés aux endroits clés : titres et intertitres de vos contenus, entre autres. Privilégiez, dès que vous le pouvez, les expressions de long traine (expressions longues, plus précises), qui sont moins concurrentielles et qui capteront un public plus qualifié.
8 – Pilotez et mesurez les avancées
Une fois que vous avez créé votre contenu, que vous l’avez publié et diffusé sur les bons canaux, les résultats ne seront pas immédiats, le référencement naturel étant un travail sur le long terme. Créez des tableaux de bord pour suivre les performances de vos contenus en fonction de vos objectifs : position de vos contenus dans les moteurs de recherche, nombre de lectures, autres pages visitées, nombre de partages sur les réseaux sociaux, nombre de formulaires remplis, etc.
Si vous trouvez que les résultats ne sont pas au rendez-vous après plusieurs mois, revenez en arrière : analysez les contenus qui fonctionnent bien, ceux qui ne prennent pas. Et redéfinissez vos sujets, votre rythme de publication, votre calendrier éditorial et vos mots-clés.
Ecrire pour le web : la règle de la pyramide inversée
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Ecrire pour le web : la règle de la pyramide inversée
Héritée du journalisme, la règle de la pyramide inversée se réfère à une structure de contenus où l’information la plus importante (ou ce qui pourrait même être considéré comme la conclusion) est placée au début, pour capter l’attention, suivi par plus de détails sur le même sujet. Quelles sont les bonnes pratiques pour écrire en pyramide inversée ? En quoi cette technique est adaptée aux spécificités de la lecture web ?
Comment écrire en pyramide inversée
Incontournable pour rédiger un communiqué de presse, l’écriture en pyramide inversée est également indispensable pour accrocher les internautes et leur donner envie de poursuivre la lecture ou leur navigation sur votre site. Elle obéit à quelques bonnes pratiques, résumées en cinq points ci-dessous.
1/ Identifiez l’idée principale que vous souhaitez transmettre : le titre et l’introduction
Quelle information vos lecteurs doivent savoir et retenir, même s’ils ne lisent que le titre et l’introduction de votre page ? Qu’est-ce qui résume efficacement toutes les informations qui vont suivre ? Le titre et l’introduction (également appelée accroche ou chapô) constituent à eux-seuls la base de l’information. Le reste de l’article ne fait qu’apporter plus de détails.
Le titre doit être court. L’accroche doit se limiter à un paragraphe et être mise en gras pour la mettre en valeur.
2/ Listez et hiérarchisez les idées secondaires
Rédigez en donnant la priorité aux informations susceptibles d’intéresser le plus votre audience, puis continuez avec des éléments de détails ou plus nuancés. Faites des phrases concises, utilisez un vocabulaire adapté au public visé et évitez le jargon, voire les anglicismes.
3/ Mettez en valeur les idées secondaires : les intertitres
Pour faciliter la lecture et le balayage rapide de l’article, prévoyez des intertitres. Soignez la première phrase de chaque paragraphe afin qu’elle contienne l’information la plus importante du paragraphe.
4/ Soignez vos balises HTML et le nommage de vos images et illustrations
Utilisez les mots-clés pertinents et utiles pour le référencement naturel dans le titre, l’introduction et les intertitres. Balisez le titre en <h1> et les intertitres en <h2> pour faciliter leur indexation par les moteurs de recherche. Soignez les mots-clés de vos ancres de liens, c’est-à-dire les mots-clés cliquables pour atteindre une autre page. Nommer vos images avec des mots-clés correspondant à l’idée principale développée dans votre contenu.
5/ Envisagez d’ajouter un résumé (optionnel)
Eventuellement, ajoutez un encadré qui résume les points clés développés dans la page en un paragraphe court ou sous forme de liste à puces.
Les avantages de la pyramide inversée pour le web
La technique d’écriture de la pyramide inversée est particulièrement adaptée pour le web, quelle que soit la taille de l’écran, car elle apporte une réponse aux habitudes de lecture des internautes. Cinq raisons de l’adopter pour tous vos contenus web : home page, pages internes et articles.
1/ Aller droit au but, faciliter la compréhension générale
Les internautes qui arrivent sur la page peuvent se faire rapidement une idée d’ensemble de l’information développée et évaluer s’ils veulent poursuivre leur lecture, puisque l’information principale se situe au début.
2/ Capter l’attention des internautes
Les internautes passent très peu de temps sur les pages. Si le titre et l’introduction les accrochent, vous maximisez les chances qu’ils poursuivent leur lecture (ou navigation sur le site).
3/ Permettre une lecture rapide de votre contenu
La hiérarchisation et la structuration logique des idées ainsi que le découpage en plusieurs paragraphes facilitent la lecture « en diagonale » de votre contenu.
4/ Faciliter la mémorisation de l’information principale
Le titre et l’introduction comprennent l’information principale. Les visiteurs peuvent s’arrêter de lire n’importe où dans la page, ils auront mémorisé le message le plus important.
5/ Optimiser le référencement naturel (SEO)
Le titre, les premières phrases de votre contenu web et les intertitres comprennent les idées-clés, et par conséquent les mots-clés pertinents et utiles pour optimiser votre référencement naturel.
Marketing de contenu : les cinq facteurs clés de réussite
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Marketing de contenu : les cinq facteurs clés de réussite
Attirer les internautes sur votre site Internet, convaincre vos prospects et/ou fidéliser vos clients, grâce à une présence en ligne renforcée (amélioration du référencement naturel, alimentation de votre site Internet et de vos comptes de réseaux sociaux…). Telles sont les promesses du marketing de contenu. Des promesses qui sont bien au rendez-vous, pour peu de respecter quelques bonnes pratiques.
1 – Définir une stratégie éditoriale
Face à l’explosion du nombre de contenus en ligne, dont la qualité et l’originalité sont tout à fait variables, comment faire pour se démarquer ? Le marketing de contenu n’est pas “magique” : il nécessite de définir, en amont, une stratégie éditoriale. Cette étape est bien souvent négligée alors qu’elle est cruciale pour garantir l’efficacité du dispositif sur le long terme.
Avant de vous lancer, il est indispensable de :
- Définir vos objectifs : notoriété, visibilité, fidélisation, génération de leads…
- Identifier vos cibles de communication ainsi que leurs besoins : à quoi s’intéressent-elles, et où vont-t-elles chercher les réponses à leurs questions ?
- Décider des formats et du ton à adopter, selon la cible
- Choisir les canaux et plateformes sur lesquelles les contenus seront diffusés. Inutile d’être trop ambitieux : à vouloir développer une présence partout, on finit par s’y perdre. Il faut aller chercher les cibles là où elles se trouvent !
- Choisir les thématiques et les sujets de prise de parole
- Etudier les expressions clés usuellement utilisées par les internautes et par vos concurrents autour de ces thématiques
- Définir un calendrier des contenus à produire sur les 3 à 6 prochains mois
2 – Internaliser ou externaliser la production de contenu ?
Evaluez d’abord ce que vous pouvez faire en interne, selon les appétences et le niveau de disponibilité de vos équipes. Certains de vos collaborateurs sont partants pour l’aventure ? Donnez-leur les moyens et le temps de produire les contenus en les déchargeant d’autres missions, par exemple.
La tactique la plus efficace consiste le plus souvent à sous-traiter une partie ou l’intégralité de cette production à un tiers. De nombreuses agences ou indépendants proposent désormais ce type de prestations. Gardez en tête que même si vous externalisez, il vous faudra consacrer du temps pour échanger avec ces tiers, leur transférer votre expertise et leur donner du grain à moudre… surtout si votre entreprise évolue dans un secteur nécessitant de fortes compétences métiers ou techniques.
3 – Privilégier la qualité à la quantité
Veillez à vous fixer des objectifs atteignables : si vous n’avez ni le temps ni le “fond” pour développer de nouveaux contenus une fois par semaine, ne vous ne vous engagez pas à le faire ! N’oubliez pas qu’il est plus important de délivrer un contenu qui intéresse vos cibles que de produire dans le seul but d’atteindre vos objectifs quantitatifs. Au final, ce sont les contenus à forte valeur ajoutée (ou réellement originaux) qui font la différence : ils restent en pole position des résultats sur les moteurs de recherche, et sont donc ainsi visibles, lus et partagés, sur le long terme. Ne cédez donc pas, non plus, au chant des sirènes des “vendeurs de contenus” à trop bon marché : produire du contenu de qualité prend du temps et nécessite une réelle expertise.
Vous aurez peut-être à revoir vos ambitions à la baisse ou, au contraire, à la hausse. Si vous ne tenez pas vos objectifs, faites un choix : sous-traitez, ralentissez le rythme ou sacrifiez certains contenus.
4 – Peaufiner la forme, diffuser sur les bons canaux
Une fois le contenu créé, il faut le rendre le plus attractif et le plus visible possible par vos cibles. Faute d’équipes dédiées en interne, il est préférable d’externaliser plutôt que de perdre un temps précieux à tenter de le mettre en valeur et le diffuser par vous-même. Une option que privilégient pourtant de nombreuses petites entreprises pour limiter les coûts, mais qui se révèle la plupart du temps peu efficace.
En effet, le savoir-faire et les compétences nécessaires pour mettre en page un contenu, le diffuser sur les bons canaux (e-mailing, réseaux sociaux…), améliorer son référencement naturel sur les moteurs de recherche (SEO), le promouvoir efficacement auprès des journalistes et influenceurs clés, etc., ne s’acquièrent pas en 5 minutes !
5 – Mesurer et se concentrer sur ce qui marche
Vous n’aurez pas de visibilité avant plusieurs semaines sur ce qui fonctionne, et pourquoi cela fonctionne. Ou l’inverse. Soyez attentif à l’évolution du trafic sur votre site Internet ou blog, aux résultats sur les moteurs de recherche, aux pages les plus consultées, à la résonance de vos contenus dans les médias classiques et sociaux.
Utilisez des outils de veille, Google Analytics ou demandez simplement à vos prospects comment ils vous ont trouvé. Au fur et à mesure, éliminez les tactiques, les canaux ou plateformes qui ne donnent pas de bons résultats. Vous avez des retours intéressants sur LinkedIn mais moins de résonance que prévu sur Twitter ? Tranchez. Vous économiserez ainsi du temps et de l’argent que vous pourrez investir ailleurs.
Marketing de contenu (ou content marketing, en anglais)
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Marketing de contenu (ou content marketing, en anglais)
Le marketing de contenu consiste à créer et diffuser régulièrement des contenus sur Internet. Cette stratégie éditoriale Web a plusieurs objectifs (et bénéfices) :
- Informer et fidéliser les clients existants,
- Renforcer la proximité entre une marque et ses clients,
- Améliorer la présence d’une entreprise / marque sur le Web,
- Animer les comptes de réseaux sociaux,
- Optimiser le positionnement d’un site dans les résultats des moteurs de recherche (SEO),
- Augmenter le trafic sur un site Internet,
- Convaincre ou séduire des prospects pour qu’ils deviennent clients…
La nature des contenus est très variée : actualités, vidéos, études de cas, trucs et astuces, guides pratiques, schémas… Tout comme les canaux de diffusion : site Internet, réseaux sociaux, blogs, médias…. Il s’agit de trouver le bon dosage (format et ton des contenus, rythme de production et diffusion, supports de communication…) selon vos objectifs, vos publics cibles et le budget que vous pouvez y consacrer.
Le marketing de contenu n’est pas « magique » : il prend du temps à la fois pour rédiger, créer et publier. De plus, face à l’explosion du nombre de contenus en ligne, il est indispensable de construire une stratégie sur-mesure et mesurer régulièrement les résultats, pour affiner ensuite les dispositifs. Enfin, le marketing de contenu doit toujours être envisagé en complément des autres opérations et actions communication visant, in fine, à créer de nouvelles opportunités commerciales.